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ÉTRUSQUES

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La cité archaïque (600 env.-480 env. av. J.-C.)

À partir de la fin du viie siècle, l'histoire des cités connaît de nouveaux développements. Le dynamisme social engendré par les échanges avec le monde grec provoque la création de plusieurs niveaux de richesses. En outre, la nécessité d'organiser le corps social, notamment dans le domaine militaire, a pour conséquence la formation de communautés politiques plus articulées. Il en résulte un monde plus ouvert et plus varié dans ses composantes.

Mobilité sociale et nouveaux équilibres dans les cités. Les fondations fédérales et le fanum Voltumnae

L'étude des inscriptions dans les nécropoles et les sanctuaires permet de saisir des formes de mobilité, d'agrégation et d'intégration sociales qui ne paraissent plus dépendre uniquement de l'institution gentilice et des liens de la fides. Les cités accueillent un certain nombre d'étrangers – Grecs, Latins et Italiques, Celtes même –, comme à Volsinii (Orvieto), et leur permettent de prendre un nomen gentilicium, de devenir ainsi, semble-t-il, citoyens de plein droit et non métèques. Ces découvertes confirment l'histoire de Démaratos, rapportée par les textes : ce noble Corinthien exilé qui put s'installer à Tarquinia et y prendre femme dans l'aristocratie. La suite de l'histoire est encore plus familière. L'un des fils de Démaratos s'installera à Rome, y devenant le premier Tarquin (l'Ancien). Mais la mobilité sociale revêt encore d'autres aspects qui paraissent relever du droit d'hospitium et de formes d'asylie (garantie de la personne) dans les sanctuaires. La plupart des relations sociales paraissent ainsi placées sous la médiation de la divinité, c'est-à-dire d'une institution publique qui est au-dessus de la gens.

L'étude de la forme et de la disposition des tombes dans les nécropoles de Tarquinia, Cerveteri, Volsinii (les mieux connues) démontre que la société, vers le milieu du vie siècle, s'inspire des modèles isonomiques (fondés sur l'égalité devant la loi) des cités grecques. Le précédent d'une telle orientation est constitué dès le viie siècle par l'adoption de la tactique hoplitique (fondée sur le regroupement en phalanges de l’infanterie) qui d'abord coexiste puis se substitue aux idéaux et aux principes de la guerre gentilice. La tactique hoplitique en effet n'a pas seulement une portée militaire : elle tend aussi à promouvoir l'égalité des fantassins sur le front de la phalange. Au même moment, il est vrai, le développement de la cavalerie est susceptible de refléter une affirmation aristocratique selon un modèle connu en Grèce et en Grande-Grèce.

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Cependant, vers le milieu du vie siècle, l'ordre politique interne se caractérise par une sorte d'équilibre entre l'affirmation hégémonique des principes et la redistribution économique et militaire des forces de la cité sur plusieurs niveaux. C'est le moment où Rome adopte la constitution censitaire (qui classe les citoyens selon leur degré de richesse) de Servius Tullius. Celle-ci enregistre précisément les niveaux de richesse comme mesures des obligations militaires.

C'est le moment aussi où d'autres formes politiques, de caractère fédéral, se développent. En témoignent les premiers signes de l'organisation du nomen etruscum (ligue des douze peuples étrusques), avec la fondation, dans la seconde moitié du vie siècle av. J.-C., du fanum Voltumnae (près de Volsinii). Les recherches des années 2000 laissent peu de doutes en effet sur l’individualisation du site où se tenaient les concilia Etruriae (assemblées fédérales), les foires et les jeux publics attirant de nombreux participants. Il comprend au moins trois temples (dont celui de Jupiter Velthum(e)na/Voltumna) distribués le long d’une voie sacrée triomphale et livre d’étonnants documents, tant sur les pratiques rituelles que sur l’identité des divinités et les usagers du sanctuaire.

La création de sanctuaires à caractère fédéral s’ajoutant aux mutations internes des cités a une incidence sur les rapports cités-campagnes. En Étrurie méridionale et septentrionale disparaissent certaines formes dépassées du pouvoir gentilice, liées à des habitats secondaires. C'est l'enseignement que l'on tire de l'histoire du site d'Acquarossa près de Viterbe ou de la destruction du palais de Murlo en Toscane, à la suite d'une expédition conduite vraisemblablement par la cité de Chiusi (vers 530-520), ou de celle de la regia de Casale Marittimo, à la suite d’une probable intervention de Volterra. Le palais comme expression indissoluble du culte gentilice et de la vénération des divinités utiles à la communauté parce que utiles à la gens disparaît. À l'opposé se développent la cité, le système des sanctuaires et l’organisation de l’espace public interne. À Véies, Cerveteri, Vulci et Volsinii, un réseau de temples consacré aux besoins sociaux commence à apparaître. Certaines formes d'occupation du territoire rappellent, comme à Véies, les systèmes modulaires employés dans la chôra (le territoire cultivable) des colonies grecques. De même éclate le caractère nouveau des entreprises de colonisation vers la fin du vie siècle et le début du ve siècle. Les cas de Marzabotto de Mantoue, en Étrurie padane, ou de Capoue (seconde colonisation de cette cité) en Étrurie campanienne, enseignent que le peuplement ne se réalise pas par de simples déplacements de gentes, comme précédemment, mais selon un plan fixé par les métropoles.

Emporia et flux commerciaux

La période entre 600 et 470 environ représente une sorte de siècle d'or des importations de vases grecs en Étrurie. Ce phénomène ne constitue qu'un aspect d'une réalité complexe dans ses implications technologiques, économiques, sociales et idéologiques.

L'organisation du commerce, aussi, se modifie, et le princeps n'a plus l'exclusivité de l'échange. Le commerce devient du ressort de la cité par le système de l' emporium, connu en Étrurie à partir des années 560-550. L'emporium est une concession de la cité aux étrangers qui obtiennent droit de commerce contre le dépôt de dîmes dans les sanctuaires dépendant de cette institution. Ce système de dîmes s'appuie souvent sur des formes de prostitution sacrée. Ainsi, des preuves archéologiques d'une telle pratique ont été apportées pour Gravisca, le port de Tarquinia, et pour celui de Cerveteri, Pyrgi, où elle était déjà connue par les textes. Les emporia se caractérisent par leurs nombreux lieux de cultes dédiés à des divinités étrangères ou locales comme à Gravisca et à Pyrgi (zone Sud). Autour de ces divinités protectrices des échanges et des statuts sociaux gravitent ainsi une foule de personnages subalternes, artisans et agents commerciaux, grecs et locaux. Parmi les personnages les plus célèbres ayant eu leurs agents commerciaux à Gravisca, on relève le nom du Lydien Pactyes (peut-être le trésorier de Crésus) et de l'Éginète Sostratos (sûrement le célèbre marchand cité par Hérodote). Le système de l'emporium (qui fonctionna aussi à Rome, au forum Boarium) dut exister dans la plupart des cités côtières d'Étrurie méridionale, et notamment à Vulci. Plus au nord, Rusellae, débouché maritime de Clusium, Populonia et Pise, ports en relation avec Volterra, durent avoir de semblables institutions.

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Les emporia permirent à l'Étrurie de s'insérer plus étroitement et plus efficacement au centre des réseaux commerciaux grecs. À partir de ce moment, les importations reflètent non seulement les hégémonies commerciales en termes de production, mais l'importance de l'intermédiation où les Grecs d'Asie deviennent des maîtres. Les importations corinthiennes cessent pratiquement, sauf sur le versant adriatique, vers le milieu du vie siècle. Les produits d'Asie Mineure les ont supplantées ; ainsi les fameuses coupes ioniennes, ou les amphores orientales, trouvées en grand nombre à Gravisca, et qui devaient transporter vin et huile. Remontant l’Arno à partir de l’escale portuaire de San Pietro a Gradoli, ces mêmes produits se recensent à Pise où l’on relève dans la nécropole la présence de Grecs. À partir de 560, les importations de céramique attique ne cessent de croître. Les agents du commerce athénien sont également parfois gréco-orientaux, notamment phocéens et, vers la fin du vie siècle, les Éginètes jouent un rôle analogue.

Le volume de ces importations cache souvent la réalité des exportations étrusques : métaux, peaux, tissus, canthares de bucchero, bronzes précieux mais aussi vin et huile. Ces deux derniers produits, transportés dans des amphores étrusques, atteignent en particulier les bouches du Rhône et le Languedoc, à partir de Vulci. La bataille d'Aleria en 545, qui met aux prises Étrusques de Cerveteri et Carthaginois contre Phocéens, donne une idée de l'intensité des rivalités commerciales dans cette partie de la Méditerranée. L'acuité de ces rivalités maritimes peut avoir contribué à orienter une partie du commerce étrusque vers l'intérieur, notamment vers le monde sabellique (Abruzzes, Picenum, Samnium) et la Campanie. Elle a aussi favorisé l'organisation par cité et pour le marché de chaque cité de certains produits comme la céramique de bucchero qui connaît de brillants développements dans le courant du vie siècle (buccheroa cilindretto [orné de motifs estampillés au moyen d'un petit cylindre] de Chiusi et Orvieto ou buccheropesante [à parois épaisses] de Chiusi).

L’art et l’artisanat archaïques

Le cadre complexe des échanges et les tendances nouvelles de la société éclairent l'histoire de l'art et de l' artisanat archaïques. La création d'un domaine public, bien caractérisé par les temples et les édifices d'utilité commune, donne une impulsion prodigieuse à l'architecture et à la coroplathie (art de travailler l'argile). Les formes du temple «  toscan », décrites par Vitruve, sont inventées dans le premier quart du vie siècle, comme l'enseigne la fondation du temple capitolin par Tarquin l'Ancien. Ces formes coexistent avec des versions imitées « périptères », de temples grecs, surtout employées dans la seconde moitié du vie siècle ( Pyrgi B) ou avec de plus modestes sacella, comme l'édifice de Piazza d'Armi à Véies. En même temps, des équipes de coroplathes créent des ateliers dans chaque cité. Célèbre est celui de Vulca à Véies. Ces artisans adoptent des solutions techniques ou stylistiques influencées par la Sicile, la Campanie, mais aussi l'Asie Mineure grecque, notamment dans la conception des frises. Ces influences ne s'expliqueraient pas sans la présence d'artisans grecs, qui constitue un témoignage ultérieur de la mobilité sociale de l'époque. L'étude des moules permet dans certains cas de former l'hypothèse d'équipes itinérantes. Ce phénomène rend compte en particulier de l'adoption, vers le milieu du vie siècle, de systèmes décoratifs analogues d'une cité à l'autre et tous inspirés des canons d'un style ionien international. Les thèmes des frises, en rapport avec les cultes, s'éclairent aussi à la lumière des intérêts communautaires : cavaliers, fantassins, assemblées divines qui représentent la cité dans sa totalité. Par leurs thèmes, les prodigieuses terres cuites du palais de Murlo appartiennent à l'époque révolue, par rapport à la nouvelle affirmation de la communauté urbaine, des « petits rois ». Elles exaltent en effet les ancêtres divinisés (les fameux acrotères à large « chapeau ») et le monde religieux qui s'exprimait dans les manifestations que nous avons décrites de la « tryphè ». Le développement de la coroplathie atteint son apogée entre la fin du vie siècle et le premier quart du ve siècle : on citera par exemple les décors du temple de Portonaccio à Véies et ceux des deux temples de Pyrgi, des sanctuaires de Caere (nom antique de Cerveteri) à San Antonio, Vigna Parrocchiale, Vigna Marini Vitalini, etc. À Véies était traité le thème d'Apollon, Héraclès et la biche Cérynite ; à Pyrgi (temple A), la plaque frontonale représentant un épisode des Sept contre Thèbes (Tydeus, Mélanippe, Athèna, Zeus...) est le chef-d'œuvre du premier quart du ve siècle. À Cerveteri, il faut signaler encore l'existence d'un singulier sanctuaire en liaison avec un tumulus gentilice : il s'agit du lieu où se déroulaient les jeux équestres en l'honneur des prisonniers phocéens lapidés après la bataille d'Aleria. L'édifice se présente comme un palais à cour, et une partie au moins de sa décoration devait se rapporter au mythe d'Héraclès et Busiris.

La maîtrise dans l'art de la coroplathie est liée à de nouvelles conquêtes dans la technique du bronze. La fusion à cire perdue, témoignée maintenant aussi par l'exploration archéologique d'ateliers de bronziers (notamment à Marzabotto), est employée régulièrement pour les statuettes votives et pour tous les produits en bronze qui feront la renommée de l'Étrurie, particulièrement auprès des Grecs ; trépieds, vases de luxe qui contribuent à la fortune des ateliers de Vulci. Malheureusement, les grands bronzes produits à cette époque sont pratiquement inconnus. Vulci mais aussi d'autres centres comme Arezzo, Cerveteri ou Volsinii durent toutefois avoir une production importante.

Statuette de cavalier, art étrusque - crédits : City of Detroit Purchase,  Bridgeman Images

Statuette de cavalier, art étrusque

Figurine de guerrier, art étrusque - crédits :  Bridgeman Images

Figurine de guerrier, art étrusque

La terre cuite et le bronze deviennent donc les deux matières essentielles des sculpteurs. La sculpture funéraire en pierre, qui servait au déploiement des fastes gentilices, connaît cependant une postérité, quoique dans des limites relativement étroites, à Vulci. En Étrurie septentrionale, elle fleurit sous forme de stèles qui suivent, à partir de 560-550, des schémas ioniens. Mais la véritable nouveauté dans ce domaine est constituée, entre 520 et 480 environ, par les cippes et urnes en « pierre fétide » de Chiusi. La standardisation des formes et l'homogénéité des thèmes, traités dans un élégant style graphique d'inspiration ionienne, reflètent bien l'idéal isonomique des destinataires de ces monuments, citoyens de la cité de Porsenna.

Sarcophage des Époux, Cerveteri, 2 - crédits : AKG-images

Sarcophage des Époux, Cerveteri, 2

Plaque de cippe funéraire, art étrusque - crédits :  Bridgeman Images

Plaque de cippe funéraire, art étrusque

Le développement le plus extraordinaire est celui de la peinture. La genèse de cet art est complexe. Elle relève d'abord de la coroplathie. En effet, la peinture est souvent appliquée sur des tuiles ou sur des panneaux revêtus d'enduits (leukômata) destinés à orner des temples et des demeures privées. Corinthe se situe au début de cette tradition et l'on peut songer au peintre Ecphantos qui suivit Démaratos en Étrurie. Cependant, Cerveteri, avec les plaques Campana et Boccanera, Véies, avec les tuiles du temple de Portonaccio, fournissent les meilleurs exemples de cet art. À Rome, aussi, les Siciliens Damophilos et Gorgasos, architectes et décorateurs du temple de Cérès, Liber et Libera (493 av. J.-C.) adoptent cette forme d'art.

Tombe du Triclinium - crédits : G. Nimatallah/ De Agostini/ Getty Images

Tombe du Triclinium

Mais il ne faut pas oublier que la peinture est très proche de la céramographie, comme l'enseigne l'exemple d'Exékias, peintre de vases et auteur de pinakes (tableaux). Aussi, l'installation en Étrurie de nouveaux peintres de vases d'origine grecque fut le prélude favorable à l'application monumentale de certains motifs et au développement de la peinture à fresque. Parmi les céramographes installés en Étrurie, certains sont d'origine ionienne comme le peintre des amphores « pontiques » de Vulci ou le peintre des Hydries de Cerveteri. Or les premiers exemples de la peinture tarquinienne du vie siècle reflètent les échanges iconographiques et stylistiques entre les différentes catégories d'artisans. L'artiste de la tombe des Taureaux (540) a des points communs avec le peintre des amphores pontiques ; celui de la tombe des Augures nous reporte à l'Asie Mineure (Gordion, la Phrygie, Milet) ; celui de la tombe de la Chasse et la Pêche reflète également le milieu de l'emporium (probablement Milet) ; celui de la tombe du Baron paraît lié à Clazomènes. Toutes ces fresques sont le produit d'ateliers où travaillent les artisans grecs qui, à leur tour, forment des artistes locaux. Cette organisation du travail ne change pas au ve siècle quand les modèles les plus courants sont attiques (tombes du Triclinium, de la Scrofa Nera, etc.).

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Tous ces artistes (locaux ou grecs implantés) traitent cependant des thèmes originaux (danses, jeux, banquets funéraires) dont l'étude minutieuse est importante pour fixer l'évolution des mentalités. Les fresques de Tarquinia constituent l'une des meilleures expressions de la société à la fois aristocratique et ouverte, « en prise sur l'emporium » qui caractérise la cité. Comme les fresques des tombes de Chiusi, moins nombreuses, elles représentent l’une des expressions les plus achevées de la cité étrusque archaïque.

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Casque à crête, art étrusque - crédits :  Bridgeman Images

Casque à crête, art étrusque

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