OCCITANES LANGUE ET LITTÉRATURE
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Dans le cadre de sa typologie linguistique, l'occitan ou langue d'oc correspond, parmi les langues romanes ou néo-latines, à un complexe parfaitement délimité, au même titre que le français, le franco-provençal, l'italien, l'espagnol, le portugais, le sarde, le roumain, le rhéto-frioulan et, parmi les langues mortes, le dalmate. À l'intérieur d'un domaine linguistique plus limité, celui de la Gallo-Romania, il constitue le gallo-roman méridional, face au français et aux dialectes d'oïl qui représentent le gallo-roman septentrional, le franco-provençal correspondant à une aire linguistique intermédiaire, mais dans l'ensemble plus oïlique qu'occitane. Le concept de gallo-roman peut être élargi : en y incluant, d'une part, le gallo-roman « cisalpin » (rhéto-frioulan et dialectes de l'Italie du Nord) et, d'autre part, un ensemble occitano-roman comprenant aussi le catalan.
D'un point de vue socio-culturel, l'occitan est sans nul doute, de tous les idiomes romans, celui qui a connu le destin le plus aventureux. Langue d'une ethnie qui n'a pu se constituer en nation, son histoire est la quête constante d'une prise de conscience que les impératifs les plus divers ont constamment remise en cause. La désignation d'occitan, utilisée par l'administration royale dès le xive siècle (lingua occitana, patria linguae occitanae) par opposition à la lingua gallica qui désignait le français, a connu une nouvelle consécration au début de ce siècle : elle est infiniment préférable à celle de provençal qui tend de plus en plus, à cause de son ambiguïté, à être réservée au seul dialecte de Provence.
Au Moyen Âge, la langue d'oc a été une grande langue de civilisation. À la fois langue littéraire (poétique particulièrement, avec la prodigieuse lyrique des troubadours) et langue véhiculaire (avec la fixation d'une langue juridique et administrative, parfaitement dégagée du latin, qui restera solide jusqu'au xve siècle), elle a été l'expression d'une communauté humaine originale et le support d'une culture d'une fécondité remarquable.
À la fin du xve siècle toutefois, et surtout au début du xvie, les positions de l'occitan administratif commencent à être ébranlées : d'une manière progressive, certes, et plus ou moins accentuée selon les régions. L'ordonnance de Villers-Cotterêts (1539), qui instaure le monopole de la seule langue française pour tous les actes publics, a donc été plus souvent la consécration d'un fait que sa cause réelle. Malgré une intéressante renaissance littéraire, au xvie siècle, sous le signe du pétrarquisme, la langue d'oc est désormais socialement atteinte et ne poursuivra plus qu'une vie culturelle larvée, avec néanmoins un usage populaire extrêmement vivace jusqu'à la Révolution.
Au xixe siècle, avec la naissance et le développement du Félibrige, puis, au xxe, avec l'émergence, aux côtés de la mouvance mistralienne, des idées occitanes, marquée notamment par la fondation, dans l'entre-deux-guerres, de la Societat, puis, à la Libération, de l'Institut d'Estudis Occitans, une page paraît s'être tournée. Quoique dans des conditions souvent difficiles, un enseignement de la langue et de la culture d'oc a pu se développer depuis le vote, en 1951, de la loi Deixonne ; des revues et des structures éditoriales plus ambitieuses ont régulièrement vu le jour ; une production artistique vivante et diversifiée (chanson, théâtre...) n'a cessé d'exister, en particulier à partir des années 1970. Tout cela a sans nul doute favorisé et accompagné l'éclosion ou l'enrichissement d'une création littéraire qui, tout en se montrant plus disponible aux influences extérieures, ne renie pas pour autant ses sources médiévales ou baroques et continue de s'abreuver aux sources d'une tradition orale certes menacée, mais encore riche et féconde.
La langue occitane
Les grands traits typologiques de l'occitan
Les traits typologiques de l'occitan présentés ici, évidemment de manière sélective, concernent essentiellement l'occitan moyen. Ils ont en outre été choisis en fonction de leur caractère oppositionnel face au français.
Phonétique
Le vocalisme se caractérise par la chute gallo-romane des voyelles finales atones autres que -a : mūru > mur, flōre > flor, mais pǒrta > pòrta, par l'absence de diphtongaison romane « spontanée » : cǒr > còr, pěde > pè mais diphtongaison conditionnée : lěctu > lièit, nǒcte > nuèit ; bǒve > buòu, par le maintien de la diphtongue au : causa > causa, *ausāre > (g)ausar et par la palatalisation gallo-romane du ū latin (> [ü]) : lūna > luna, matūrus > madur.
Le consonantisme se définit par l'absence de palatalisation de ca- et de ga- (sauf en nord-occitan) : cantāre > cantar, gallu > gal (mais nord-occitan : chantar, jal), par la chute de l'-n « instable », sans traces de nasalisation (sauf en gascon et provençal) : pane > [pa], vīnu > [bi], běne > [bé] (graphie : pan, vin, ben), par la vocalisation du [d], dans le groupe intervocalique -dr-, qui devient [y] : crēděre > creire, raděre > raire ; patre > paire, latrōne > lairon, par le passage de -d- intervocalique primaire à [z] (ou amuïssement en nord-occitan) : sūdāre, > susar, nūda > nusa, laudat > lausa, par la conservation (localisée) des anciennes affriquées romanes : diǔrnu > jorn [džur/dzur], *jěctāre > getar [džéta/dzéta], gělu > gèl [džèl/dzèl], par la palatalisation du groupe [yt] < -ct- (sauf pour le gascon et les parlers limitrophes) : factu > fait/fach, facta > facha, lacte > lach, lěctu > lièch et par la solidité des consonnes finales (du moins en gascon et en languedocien) : prat, prats ; amic, amics ; lop, lops.
Morphosyntaxe
À l'étape ancienne, il y a maintien de la déclinaison gallo-romane à deux cas ; cas-sujet : lo murs (singulier), li mur (pluriel) / cas-régime : lo mur (singulier), los murs (pluriel) ; on trouve aussi un conditionnel synthétique en -ra, remontant au plus-que-parfait de l'indicatif latin : type cantèra < canta(ve)rat, agra < habuerat, degra < debuerat (à côté de : cantaria, auria, deuria).
Prétérit à infixe -g- dans les parfaits latins en -ūi : dēbuī > dec, vǒlǔī > volc, *bǐbǔī > bec (moderne deguèri, volguèri, beguèri). L'objet direct personnel possède un a introductif (gascon et parlers limitrophes) : l'aimi al mieu paire « je l'aime à mon père ». On emploie le subjonctif présent dans les subordonnées à sens futur introduites par un relatif ou une conjonction (limité aujourd'hui au gascon) : quan venga, cantarà « quand il viendra, il chantera » (de même en ibéro-roman). L'article défini est utilisé comme démonstratif : lo que parla « celui qui parle », la que canta « celle qui chante » (ainsi en ibéro-roman). Le subjonctif présent peut marquer la prohibition (impératif négatif) : (non) cantes pas « ne chante pas », (non) vengas pas « ne viens pas » (ainsi en ibéro-roman).
Lexique
Comme pour la phonétique et la morphosyntaxe, le lexique de l'occitan (et aussi de l'occitano-roman dans son ensemble) occupe une position intermédiaire entre le gallo-roman et l'ibéro-roman. Pour certains types lexicaux, il s'inscrit nettement dans le cadre du gallo-roman : le cas du catalan est symptomatique à ce sujet.
Exemple type trǒpāre (> occitan et catalan trobar, français trouver) / *adflāre (> espagnol hallar, portugais achar) ; fěněstra (> occ. cat. finestra, franç. fenêtre) / *ventāna (> (esp. ventana) ; *vǒlēre (> occ. cat. voler, franç. vouloir) / quaerěre (> esp. portug. querer) ; *paraulare (> occ. cat. parlar, franç. parler) / *fabūlāre (> esp. hablar, portug. falar) ; mandūcāre (> occ. manjar, cat. menjar, franç. manger) / coměděre (> esp. portug. comer) ; apud « avec » (> occ. cat. ab/amb, anc. franç. o) / cum (> esp. con, portug. com), etc.
Pour d'autres types lexicaux, en revanche, l'occitano-roman fait cause commune avec l'ibéro-roman et se sépare nettement du français, qu'il s'agisse de mots d'origine latine ignorés du français (occ. armòl, esp. armuelle « arroche » ; afartar, hartar « rassasier » ; borrèc, borrego « agneau d'un an » ; calar, callar « se taire » ; campana, campana « cloche » ; flac, flaco « faible » ; garganta, garganta « gorge » ; laganha, lagaña « chassie » ; lairar, ladrar « aboyer » ; lenha, leña « bois de chauffage » ; pèrna, pierna « fesse, jambe » ; òrt, huerto « jardin »), ou de mots spécifiques (fonds aquitano-pyrénéen : andralh, andrajo « guenille » ; bruèissa, bruja « sorcière » ; esquèr, izquierdo « gauche » ; morre, morro « museau » ; toja, tojo « ajonc épineux »), ou encore de termes de provenance arabe inconnus de la langue d'oïl (alcavòt, alcahuete « entremetteur » ; alquitran, alquitrón « goudron » ; taüt, ataúd « cercueil »).
Les dialectes occitans
L'ensemble occitan présente trois inflexions dialectales spécifiques : le nord-occitan, l'occitan moyen et le gascon.
Le nord-occitan est essentiellement caractérisé par la palatalisation ancienne, de type oïlique, de ca et de ga latins en [tša] et [dža] : cantat > chanta, gallus > jal. Le nord-occitan comprend : le limousin (qui couvre le nord du département de la Dordogne, la Corrèze, la Haute-Vienne et la Creuse), l'auvergnat (nord du Cantal, Puy-de-Dôme, Haute-Loire) et le provençal alpin (Ardèche, Drôme, Hautes-Alpes, nord des Alpes-de-Haute-Provence).
L'occitan moyen est le groupe de parlers le plus conservateur, le moins éloigné de la langue classique du Moyen Âge, le plus directement accessible à l'ensemble des occitanophones, également distant des évolutions poussées du nord-occitan et de la spécificité atavique du gascon. Il peut se diviser à son tour en deux complexes dialectaux : le languedocien, qui est l'occitan par excellence, et le plus important géographiquement, et le provençal, que sa fortune particulière a servi au xixe siècle.
Le languedocien est approximativement limité à l'ouest par la Garonne (limite de l'aire du gascon), au nord par le nord-occitan (limite cantar/chantar), à l'est par une bande interférentielle entre le Vidourle et le Rhône (limite de l'aire du provençal) ; soit les départements suivants : Aveyron, Lot, Lot-et-Garonne, Tarn-et-Garonne, Tarn, Aude, Hérault et, partiellement : Lozère, Haute-Garonne, Ariège, Gard, Dordogne, Cantal, Pyrénées-Orientales, Gironde.
Le provençal est dû, en fait, à une surévolution relativement récente (à partir du xvie s.) qui l'a détaché du languedocien et a achevé de lui donner son visage actuel. Le trait le plus significatif (mais non exclusif) est l'amuïssement des consonnes finales (en particulier -s du pluriel), ce qui amène certaines restructurations morphologiques inconnues du languedocien. Le provençal recouvre en gros les parlers de l'ancienne Provence, du comtat Venaissin et du comté de Nice. On peut y ajouter les parlers de Nîmes et d'Uzès, en Languedoc, qui étaient encore languedociens au xviie siècle.
Le gascon est presque une langue à part dans le domaine occitan. Ses caractéristiques essentielles sont, en phonétique, le passage de f latin à h (fīlia > hilha, farīna > haría, fǔrnu > horn, fǒcu > huèc), la chute du -n- intervocalique (lūna > lua, farīna > harìa, vēna > vía), l'évolution particulière de la géminée -ll- (en finale, -ll > -th ou -t : běllu > bèth/bèt, castěllu > castèth/castèt ; à l'intervocalique, -ll- > -r- : bělla > bèra, gallīna > garía, ǐlla > era), le développement d'un a- prosthétique devant un r- initial fortement roulé : arrat, arrasim, arròda (occ. moyen : rat, rasim, ròda). En morphosyntaxe, on peut signaler un imparfait indicatif spécifique : arridè/arridèva « (il) riait », volè/volèva « (il) volait », dromiva « (il) dormait » (occ. moyen : risió, volió, dormió) ; un prétérit également original (types cantè/cantà, arridó/arridoc, dromí, face à l'occitan moyen : cantèt, riguèt, dormiguèt) ; la prolifération de particules dites « énonciatives » renforçant l'énonciation verbale (l'òme que se n'anèc deu vilatge « l'homme s'en alla du village », « la hemna que cantava « la femme chantait » ; los chins be son au lhèit ? « les petits sont au lit, n'est-ce pas ? »).
La « scripta » occitane
Les plus anciens documents dans lesquels on trouve des traces de langue vulgaire remontent à 985 et 989 : il s'agit de serments de fidélité écrits en latin et relatifs au château de Lautrec (Tarn). Mais le premier texte juridique connu entièrement écrit en occitan leur est postérieur de plus d'un siècle : il appartient à la région de Rodez et date de 1102.
Pour ce qui est des documents littéraires, le plus archaïque est certainement le refrain de l'alba bilingue, en provenance du monastère de Fleury-, aujourd'hui Saint-Benoît-sur-Loire (Loiret) : il remonte en effet au xie siècle et peut-être au xe siècle. Malheureusement, le texte en est trop corrompu pour qu'on puisse en donner une interprétation bien assurée. Viennent ensuite deux textes plus sûrs et de réelle valeur littéraire : le poème de Boèci, fragment de deux cent cinquante-huit vers décasyllabiques de type épique, dont la chronologie est peu sûre (vraisemblablement xi-xiie siècle) ; et la Chanson de sainte Foi d'Agen, du milieu du xie siècle : ce poème, qui compte cinq cent quatre-vingt-treize vers octosyllabiques, relate le martyre et les miracles de la sainte. Peu de temps après commence la floraison lyrique des troubadours, avec Guillaume d'Aquitaine (1071-1127). Voici trois échantillons poétiques occitans empruntés respectivement à Guillaume de Poitiers (xie-xiie siècle), à Pierre Goudouli (1580-1649) et à un poète contemporain, Max Rouquette :
La nostr'amor vai enaissi
Com la branca de l'albespi
Qu'esta sobre l'arbre tremblan,
La nuoit, a la ploja ez al gel,
Tro l'endeman, que.l sols s'espan
Per las fueillas verz e.l ramel.
« Il en est de notre amour comme de la branche d'aubépine qui, la nuit, tremble sur l'arbuste, exposée à la pluie et au gel, jusqu'à ce que, le lendemain, le soleil inonde ses feuilles vertes et ses rameaux. »
En vesent còs un camarada
Damb qui sovent avem rigut,
Tot l'esprit se m'es esmaugut
E ma gaietat retirada ;
Mès, qui ne se trebola pas
Sus la pensada d'aquel pas
Que n'a plus de retorn al monde,
Quand l'òme dins l'atge plus fòrt
N'a pas d'amic que le segonde
Al duèl d'el e de la mòrt. « En voyant mort un camarade avec qui souvent nous avons ri, tout mon esprit est bouleversé et ma gaieté se retire. Mais qui ne se troublerait à la pensée de ce passage qui n'a plus de retour au monde, quand l'homme au plus fort de son âge n'a pas d'ami qui lui vienne en aide dans son duel avec la mort. »
Çò que cerque, Senhor, en fòra
de tas flors e de tos aucèls
es lo desèrt, es la mar granda
enauçada encar de ta man,
es lo monde nud de tas aubas
quora de tos dets es tombat
lis coma una filha sens rauba.
Deus lo desèrt ai caminat
e deus la mar e dins la nuòch
onte lo monde se despuòlha
e dins la claror de tos fuòcs
a ta flatinga s'abandona.
« Seigneur, ce que je cherche, en dehors de tes fleurs et de tes oiseaux, c'est le désert, c'est la mer grande soulevée encore par ta main, c'est le monde nu de tes aubes lorsque de tes doigts il tomba, lisse comme une fille nue. Vers le désert j'ai cheminé et vers la mer et dans la nuit, là où le monde se dépouille et, dans la clarté de tes feux, à ta caresse s'abandonne. »
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Écrit par
- Pierre BEC : professeur à l'université de Poitiers, ancien directeur du Centre d'études supérieures de civilisation médiévale
- Charles CAMPROUX : professeur honoraire à l'université Paul-Valéry, Montpellier
- Philippe GARDY : directeur de recherche au C.N.R.S.
Classification
Média
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Voir aussi
- FÉLIBRIGE
- LANGUEDOCIEN, langue
- GASCON, langue
- GUILLAUME D'AQUITAINE (1071-1127)
- GOUDOULI PIERRE (1580-1649)
- FIN'AMOR
- MATFRÉ ERMENGAUT (fin XIIIe s.)
- GODOLIN PIERRE (1580-1649)
- GELU VICTOR (1806-1885)
- JAUFRÉ, roman anonyme
- PROVENÇALES LANGUE & LITTÉRATURE
- ADER GUILLAUME (1570?-1638)
- BRUEYS CLAUDE (1570-1636)
- PEYROT CLAUDE (1709-1795)
- MARCABRU ou MARCABRUN (mil. XIIe s.)
- OCCITANES LITTÉRATURES
- OCCITAN ou LANGUE D'OC
- MÉDIÉVALE LITTÉRATURE
- SIRVENTÈS
- ORALE LITTÉRATURE
- LANGUES RÉGIONALES
- ROUMANILLE JOSEPH (1818-1891)
- AUBANEL THÉODORE (1829-1886)
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- DELAVOUËT MAX-PHILIPPE (1920-1990)
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- FRANÇAISE LITTÉRATURE, XXe et XXIe s. : le roman