Jean-Georges RITZ
Professeur émérite à l'université de Grenoble-III
Articles
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HOPKINS GERARD MANLEY (1844-1889)
- Écrit par Jean-Georges RITZ
- 1 125 mots
C'est un étrange destin qu'a connu Gerard Hopkins. Nulle vie en apparence plus banale, plus mêlée au commun. L'homme ne fut apprécié que de rares amis et son œuvre poétique resta pratiquement ignorée de son vivant. Elle le demeura près de trente ans encore après sa mort, jusqu'à ce que son ami, le poète-lauréat...
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STEVENSON ROBERT LOUIS (1850-1894)
- Écrit par Jean-Georges RITZ
- 1 464 mots
- 1 média
Celui que les Polynésiens surnommèrent « Tusitala » (« le conteur d'histoires ») méritait et mérite toujours cet hommage populaire, même si l'écrivain écossais, essayiste, poète et romancier est peu connu de nos jours et laisse à L'Île au trésoret à Dr Jekyll et M....
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SWINBURNE ALGERNON CHARLES (1837-1909)
- Écrit par Jean-Georges RITZ
- 1 292 mots
On a souvent et à juste titre comparé Swinburne à Shelley. Ces deux grands poètes lyriques anglais, dont les œuvres, comme deux portes monumentales, se dressent à l'entrée et à la sortie du xixe siècle, ont de nombreux points communs : même origine aristocratique, même constitution fragile,...
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TENNYSON ALFRED (1809-1892)
- Écrit par Jean-Georges RITZ
- 1 476 mots
Alfred Tennyson est sans conteste la figure majeure de la poésie victorienne. Browning, plus complexe, plus difficile, reste son brillant second. De 1850 à 1892, lord Tennyson fut le porte-parole officiel de la nation britannique ; la reine Victoria et tous les personnages importants : savants, philosophes,...