Abonnez-vous à Universalis pour 1 euro

Goût, esthétique

Articles

  • CONNAISSEURS

    • Écrit par
    • 2 037 mots
    • 1 média

    Un jugement sûr, fait pour une part d'intuition mais étayé par une culture artistique, un « œil » clairvoyant par nature, mais affiné par le contact quasi permanent avec les œuvres d'art, tels sont les armes, les traits distinctifs du connaisseur. Pour s'exercer et s'épanouir, sa faculté d'appréciation...

  • GOÛT, esthétique

    • Écrit par
    • 4 590 mots
    • 1 média

    Pour tenter de cerner la notion de goût, on peut citer un écrivain obscur du xixe siècle, Bercot, sauvé de l'oubli par Littré pour cette réflexion : « Il faut avoir bien du goût pour échapper au goût de son époque. » Le goût, en effet, désigne, d'une part, un « don » personnel, d'autre part un phénomène...

  • KITSCH

    • Écrit par
    • 1 509 mots
    • 1 média

    On assimile habituellement le kitsch au mauvais goût, au tape-à-l'œil, à la pacotille, à tout ce qui est lourd, criard, clinquant, convenu – chromos, souvenirs touristiques, artisanat d'aéroport et autres Joconde en plastique. Pourtant, force est de constater, si l'on y regarde de...

  • LAID LE

    • Écrit par
    • 602 mots

    Le concept de laid a un substrat biologique, et toutes les langues semblent avoir un terme, souvent accompagné d'un geste ou d'une moue, pour désigner le mal venu. C'est que l'être humain, organisme (intégron) se percevant par le détour d'autres organismes saisis visuellement,...

  • LA VOLUPTÉ DU GOÛT (exposition)

    • Écrit par
    • 1 002 mots

    Reconnue d'intérêt national par le ministère de la Culture, organisée sous l'égide de FRAME (French Regional & American Museum Exchange), un groupement de vingt-quatre musées régionaux français et musées américains, créé en 1999, l'expositionLa Volupté du goût. La peinture...

  • VULGARITÉ

    • Écrit par
    • 1 219 mots

    Mot qu'il faut prononcer avec une légère grimace pour y marquer le désagrément causé par la seule évocation du mauvais goût des « autres ». Le terme « vulgarité » est donc toujours péjoratif, à moins que, par un retournement hiérarchique dans l'agression, il devienne le noble ricanement du sans-culotte...