Échinides
- Nom masculin pluriel
Définition
- en zoologie, classe de métazoaires marins recouverts de piquants mobiles (l'oursin, par exemple)
"échinides" dans l'encyclopédie
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ÉCHINODERMES
- Écrit par Geneviève TERMIER, Henri TERMIER et Andrée TÉTRY
- 36 603 mots
- 9 médias
L'un des premiers Échinides, Bothriocidaris, possède une thèque particulièrement solide, mais les Échinocystoïdes, à thèque plus souple, apparaissent en même temps, et, de relais en relais, ont atteint la fin du Carbonifère ; ils seront alors relayés par les Cidaroïdes, apparus à la fin du Dévonien, et devenus un groupe panchronique d'où sont issus les Échinides postpaléozoïques.
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OURSINS
- Écrit par Andrée TÉTRY
- 24 077 mots
- 4 médias
Certains spécialistes les considèrent comme les ancêtres des Échinides, alors que d'autres les rangent dans les Cystidés (Pelmatozoaires). Oursins réguliers – Les Lépidocentrides, oursins fossiles (Ordovicien au Permien), représentent probablement la souche des oursins modernes. Les plaques offrent une disposition moins régulière que dans les échantillons modernes.
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PELMATOZOAIRES
- Écrit par Geneviève TERMIER et Henri TERMIER
- 10 899 mots
- 1 média
Fixés, au moins pendant une partie de leur existence, ils s'opposent aux Eleuthérozoaires (Hélicoplacoïdes du Cambrien inférieur, Échinides, Astérides, Holothurides), dont la vie est libre.Les Pelmatozoaires, quoiqu'ils proviennent de plusieurs phylums, ont en commun l'adaptation à une niche écologique particulière : ce sont des animaux benthoniques microphages filtreurs et fixés.
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MÉSOZOÏQUE ou ÈRE SECONDAIRE
- Écrit par Jean-François DECONINCK
- 45 854 mots
- 13 médias
Parmi les échinodermes, un seul genre de crinoïdes survit au Trias, et chez les échinides, seul le genre Miocidaris survit et assure la descendance de l'ensemble des échinides mésozoïques. Les organismes planctoniques, moins affectés par la crise, présentent néanmoins une chute notable de la diversité. En milieu continental, environ les trois quarts des familles de vertébrés terrestres disparaissent.
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RÉSERVES PHYSIOLOGIQUES Réserves animales
- Écrit par Marc PASCAUD et Jean-Marie VERNIER
- 41 184 mots
- 7 médias
Rappelons que les œufs de type oligolécithe, pauvres en réserves, subissent une segmentation totale qui entraîne la répartition des plaquettes vitellines entre les blastomères ; leur dégradation intracellulaire permet le développement d'une larve pélagique ciliée (auricularia des Holothurides, bipinnaria des Astérides, plutéus des Échinides et des Ophiurides, doliolaria des Crinoïdes pour ce qui concerne l'embranchement des Échinodermes ; larve véligère des Mollusques ; larve trochophore ou métatrochophore des Annélides Polychètes) qui se nourrit aux dépens du milieu aquatique où elle vit.