Échiquéenne

"échiquéenne" dans l'encyclopédie

• FISCHER BOBBY (1943-2008)

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 4 156 mots

  Son recueil de 1969, Mes Soixante Meilleures Parties, est un grand classique de la littérature échiquéenne.

• BOTVINNIK MIKHAÏL (1911-1995)

  • Écrit par Jacques ROTENBERG
  • 7 447 mots

  Véritable héros national après son premier titre de champion du monde, Botvinnik se consacrera à égalité à ses activités échiquéenne et scientifique ; il effectuera en particulier des recherches poussées dans le domaine de la programmation informatique du jeu d'échecs (on pourra consulter son ouvrage Computers, Chess and Long-Range Planning, trad. du russe par A.

• EUWE MAX (1901-1981)

  • Écrit par François LE LIONNAIS
  • 6 549 mots

  En 1962, le développement des recherches sur le jeu d'échecs par ordinateur avait conduit Euratome à constituer le groupe Semec (Sémantique échiquéenne), qui avait pour mission l'étude d'un programme de jeu à partir de la position initiale. Ce groupe d'une dizaine de personnes élut Max Euwe comme président. Dans le rapport qui fut publié en 1963, la contribution de Euwe porta surtout sur la coordination des travaux de la Commission, sur l'attaque du champ royal et sur les grandes structures stratégiques, ainsi que sur un certain nombre de possibilités tactiques.

• ÉCHECS JEU D'

  • Écrit par François LE LIONNAIS, Jean-Michel PÉCHINÉ et Encyclopædia Universalis
  • 50 817 mots
  • 36 médias

  Il n'en est pas de même pour la composition échiquéenne qui, issue de la partie, s'en est rapidement différenciée et dont les règles, en perpétuelles transformations, restent toujours ouvertes à des renouvellements de plus en plus audacieux. La partie Une partie d'échecs se dispute entre deux adversaires disposant d'un certain nombre de pièces qui se déplacent sur un réseau appelé échiquier.