Écrasement
- Nom masculin singulier
Définition
- fait d'écraser; le résultat de cette action
- anéantissement
"écrasement" dans l'encyclopédie
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COMPRESSION SYNDROME DE ou SYNDROME D'ÉCRASEMENT
- Écrit par René NOTO
- 5 012 mots
Syndrome d'écrasement ou de compression, syndrome des ensevelis sont autant de termes pour définir une entité clinique bien connue, qui est la résultante d'une nécrose musculaire ischémique par compression prolongée et étendue conduisant à la constitution d'un état de choc grave et à l'apparition secondaire d'une néphropathie avec insuffisance rénale aiguë.
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CONTUSION
- Écrit par François BOURNÉRIAS
- 616 mots
Une contusion musculaire étendue, par écrasement d'un membre, peut entraîner des manifestations systémiques, notamment rénales (syndrome de Bywaters, ou crush-injury), par la libération de substances nocives provenant de la lyse musculaire.
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INCLUSIONS, physique du solide
- Écrit par Alain Gil MAZET
- 3 641 mots
Les techniques d'étude ont été peu à peu adaptées, améliorées et diversifiées : on a adjoint au microscope polarisant des platines chauffantes, réfrigérantes, ou à écrasement. Les microsondes électronique et ionique permettent d'obtenir les analyses chimiques des inclusions solides amenées à la surface par polissage. Les gaz sont libérés par la platine à écrasement et injectés directement dans un spectrographe de masse.
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ELEUTH
- Écrit par Françoise AUBIN
- 924 mots
Au tome I de ces Mémoires, le père Amiot, commentant le principal événement des années 1755 et suivantes, l'écrasement définitif des Mongols occidentaux par Qianlong, latinise tout naturellement en Eleuth le nom d'Elute (tiré du mongol Ölöt) par lequel les Chinois désignent alors les vaincus.
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GRUNWALD BATAILLE DE ou BATAILLE DE TANNENBERG (15 juill. 1410)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 376 mots
- 1 média
La bataille, qui dura près de dix heures, s'acheva par l'écrasement des forces teutoniques : le grand maître de l'Ordre, Ulrich von Jungingen, la plupart de ses commandeurs et deux cent cinq de ses chevaliers y périrent. Cette bataille eut pour conséquence la reddition de nombreux châteaux tenus par l'Ordre, qui passèrent aux mains des vainqueurs. Marienburg, cependant, qui était défendue par Heinrich Reuss von Plauen, ne tomba pas.