Électroencéphalographique
- Adjectif singulier invariant en genre
Définition
- en médecine, relatif à l'électroencéphalographie, technique d'enregistrement de l'activité électrique du cerveau à l'aide d'électrodes
"électroencéphalographique" dans l'encyclopédie
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PSYCHOLOGIE DU TÉMOIGNAGE
- Écrit par Céline LAUNAY et Jacques PY
- 8 067 mots
Le premier versant concerne l’utilisation de technologies permettant de mesurer les fixations oculaires et l’activité électroencéphalographique lors de l’observation d’une personne cible ou lors d’un test de reconnaissance des visages. Cette démarche présente un grand intérêt pour comprendre les raisons des erreurs particulièrement nombreuses que nous produisons lorsque nous essayons de reconnaître une personne ayant une origine ethnique a priori différente de la nôtre.
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PSYCHOLOGIE DU LANGAGE ORAL
- Écrit par Elsa SPINELLI
- 24 238 mots
L’utilisation de l’enregistrement électroencéphalographique, très précis sur le plan temporel, couplé à des méthodes permettant de localiser spatialement la source des effets, fournira sans doute dans les années à venir de précieuses données sur le sujet. Perspectives Des avancées méthodologiques au service des questions posées Que ce soit en perception ou production de la parole, une question fondamentale concerne le décours temporel des processus en jeu.
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VISUALISATION DE L'ACTIVITÉ DU CERVEAU
- Écrit par Jean-Gaël BARBARA
- 34 616 mots
- 5 médias
S’il était clair, dès les années 1930, que le signal électroencéphalographique reposait certainement sur l’activité électrique des neurones, il ne fut jamais possible d’établir une corrélation temporelle stricte entre l’activité de neurones uniques et le rythme alpha, ce qui constitua une déception dans les années 1950. De même, les mesures du volume sanguin régional ou de la consommation locale de glucose n’étaient qu’indirectement corrélées avec l’activité des neurones et reposaient sur des modèles mathématiques complexes requérant pour leur validation de longues années de recherche.
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ENCÉPHALOPATHIES SPONGIFORMES
- Écrit par Dominique DORMONT
- 36 289 mots
- 3 médias
Les patients présentent un tableau d'insomnie insensible à toute thérapeutique, et objectivée par un tracé électroencéphalographique polygraphique d'au moins vingt-quatre heures. Des myoclonies ainsi que des signes de dysarthrie et d'ataxie complètent le tableau clinique. L'évolution se fait vers un état stuporeux et un coma après une phase d'hallucination, et la mort survient en treize mois en moyenne.
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ENFANCE (Les connaissances) La petite enfance
- Écrit par Hélène STORK
- 48 075 mots
- 2 médias
Après l'épreuve de l'expulsion, le bébé, comme en témoigne le tracé électroencéphalographique, dort d'un sommeil exceptionnellement profond, indice évident des efforts qu'il a fournis pour naître. Il bénéficie alors de l'effet apaisant que lui procure le contact avec le corps de sa mère, contact qui est aussi très gratifiant pour celle-ci et grâce auquel l'enfant réel remplace dans la psyché maternelle l'enfant imaginaire (l'enfant « imaginaire » poursuit néanmoins son existence dans l'inconscient parental bien au-delà de la période néonatale).