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Électro-encéphalographique

  • Adjectif singulier invariant en genre

Définition

  1. en médecine, relatif à l'électroencéphalographie, technique d'enregistrement de l'activité électrique du cerveau à l'aide d'électrodes

"électro-encéphalographique" dans l'encyclopédie

  • YOHIMBINE ou CORYNINE ou APHRODINE

    • Écrit par Michel HAMON
    • 2 170 mots

    De même, le tracé électro-encéphalographique est très voisin du tracé déclenché par le composé hallucinogène : désynchronisation caractérisée par l'augmentation de la fréquence et la diminution de l'amplitude des ondes corticales. La yohimbine ne provoque pas cependant d'effet psychodysleptique. Son mécanisme d'action est encore mal connu. Chez le rat, elle provoque une élévation de la concentration de la sérotonine, et une diminution de celle de la noradrénaline dans le cerveau.

  • ÉPILEPSIE

    • Écrit par Henri GASTAUT et François MIKOL
    • 33 899 mots
    • 3 médias

    Leur expression électro-encéphalographique, du moins à leur début, n'intéresse que la partie d'un hémiscalp qui recouvre la représentation corticale du système en question. La décharge neuronique qui les provoque débute généralement dans la zone corticale correspondante et peut y demeurer localisée ou se propager. (Lorsque la propagation se fait à l'ensemble du cerveau, on observe évidemment une crise partielle secondairement généralisée.

  • COMA

    • Écrit par Marie-Elisabeth FAYMONVILLE, Geneviève LABORIT, Henri LABORIT, Steven LAUREYS et Pierre MAQUET
    • 17 578 mots
    • 3 médias

    – Mort cérébrale, ou coma « dépassé » (stade IV) : ses limites, bien connues, sont fondées sur la clinique et sur le contrôle électro-encéphalographique. La dilatation pupillaire (mydriase bilatérale) est contemporaine d'une aréactivité totale. Les troubles ventilatoires aboutissent à l'apnée, et seule la ventilation artificielle permet la survie de ces malades dont le cerveau est mort, mais dont l'appareil cardio-vasculaire fonctionne encore.

  • NERVEUX (SYSTÈME) Neurobiologie

    • Écrit par Jean-Marc GOAILLARD, Michel HAMON, André NIEOULLON et Henri SCHMITT
    • 75 631 mots
    • 11 médias

    En outre, les drogues cholinomimétiques, susceptibles de traverser la barrière hémato-encéphalique, déclenchent une réaction d'éveil électro-encéphalographique, et l'atropine l'apparition d'un tracé électro-encéphalographique de sommeil. Toutefois, l'administration d'oxotrémorine dans certaines parties du tronc cérébral induit le sommeil paradoxal (ou sommeil rapide), caractérisé par une désynchronisation corticale et une perte du tonus musculaire.

  • ENFANCE (Les connaissances) Développement psychomoteur

    • Écrit par Didier-Jacques DUCHÉ
    • 36 860 mots
    • 1 média

    Dès cet âge, il existe une différenciation veille-sommeil du tracé électro-encéphalographique. À six mois, on peut isoler deux périodes de sommeil de six heures chacune. À cette phase, toute relation avec le monde extérieur s'établit essentiellement à l'occasion des repas. Pourvue d'un équipement sensitif beaucoup plus évolué que le reste du corps, la zone buccale et péribuccale joue un rôle double d'alimentation et de connaissance, en relation avec le sein ou le biberon.

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