Élogieuse
- Adjectif féminin singulier
Définition
- qui fait des éloges, qui complimente, qui valorise (une critique élogieuse )
"élogieuse" dans l'encyclopédie
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DJEBĀL
- Écrit par Jean CALMARD
- 1 380 mots
Dans les polémiques, l'épithète ‘adjamī finit d'ailleurs par prendre une signification élogieuse à l'égard des Persans. Les frontières du Djebāl iranien furent assez fluctuantes. Elles étaient grosso modo : au nord, l'Elbourz ; à l'est, le Khurāsān ; au sud, le Fārs ; au sud-ouest et à l'ouest, le Khuzistan et l'Irak ; au nord-ouest, l'Azerbaïdjan.
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MANDEVILLE BERNARD DE (1670-1733)
- Écrit par Bernard DUCROS
- 1 592 mots
Cet argument, qui avait tout pour déplaire à Smith et à ses disciples, devait en revanche attirer plus tard l'attention de Keynes, qui, dans un appendice historique à sa Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie cite Mandeville de façon élogieuse.
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WILBYE JOHN (1574-1638)
- Écrit par Jacques MICHON
- 2 318 mots
Fellowes, John Wilbye est « le plus grand des madrigalistes anglais » et, même si l'on juge un peu trop élogieuse une telle appréciation, on peut affirmer sans risque d'erreur qu'il est l'un des plus grands d'entre eux. Sans doute est-ce bien là, d'ailleurs, que réside sa gloire, car le peu qu'il a pu écrire de musique instrumentale reste négligeable, tandis que, de sa production de musique sacrée, se détachent quelques rares pièces telles que O God the Will of my Whole Strength et sa contribution au recueil de Leighton, The Tears or Lamentations of a Sorrowful Soule (1614), toutes deux, il est vrai, empreintes d'expressive beauté.
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HALE EDWARD EVERETT (1822-1909)
- Écrit par Marc BLOCH
- 2 393 mots
Esprit très ouvert et très vif, il fut le premier à exprimer une critique élogieuse du recueil de poèmes de Walt Whitman Leaves of Grass. Hale publia plusieurs romans, de nombreuses nouvelles, des souvenirs et des œuvres d'érudition. Son premier roman, L'Homme sans patrie (The Man Without a Country, 1863), est devenu un classique de la littérature américaine.
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OCAMPO SILVINA (1903-1993)
- Écrit par Jean-Marie SAINT-LU
- 3 717 mots
Victoria devait d’ailleurs être la première critique, aussi sévère qu’élogieuse, de l’ouvrage de sa cadette. Plus effacée, mais tout aussi cultivée et raffinée — elle possède à fond l’anglais et le français, a étudié la musique à Paris et pris des cours de peinture avec Giorgio De Chirico —, Silvina Ocampo est demeurée jusqu’à sa mort, en décembre 1993, un écrivain discret, indifférent aux mécanismes de la promotion littéraire.