Émondage

"émondage" dans l'encyclopédie

• COMPLANTÉES TERRES

  • Écrit par Roger BÉTEILLE
  • 785 mots

  Les divers travaux agricoles, l'émondage ou la taille périodique des arbres, exigent un temps de travail à l'hectare considérable.

• SIRÉNIENS FOSSILES

  • Écrit par Jean-Louis HARTENBERGER
  • 3 729 mots
  • 1 média

  Ce mode de bêchage et d'émondage sélectif des massifs végétaux influaient sur la repousse. De nos jours, les siréniens paissent seulement les plantes flottantes ou émergentes (graminées, jacinthes d'eau, najadales...) et les algues. En France, dans la réserve géologique de Haute-Provence, on peut visiter le gisement de siréniens de Taulanne (Alpes-de-Haute-Provence), protégé et aménagé pour recevoir les visiteurs.

• BOCAGE

  • Écrit par Roger BÉTEILLE
  • 5 276 mots

  L'entretien des haies, le nettoyage des parcelles, l'émondage des arbres s'accordent mal avec la raréfaction et la cherté de la main-d'œuvre agricole. Enfin, le bocage impose une perte de terrain importante par la largeur des haies et des chemins : parfois de 5 à 10 p. 100 du territoire d'une commune. Le bocage apparaît donc souvent comme une contrainte héritée du passé et, de ce fait, condamnée à disparaître à la suite du remembrement ou d'aménagements individuels.

• BULTMANN RUDOLF (1884-1976)

  • Écrit par André MALET
  • 12 735 mots

  Le protestantisme se montra plus accueillant, car son fondateur – Luther – avait déjà opéré un sérieux émondage des textes sacrés en prenant comme critère leur intention profonde, si bien que Bultmann a pu écrire : « La démythologisation est le parallèle de la doctrine paulinienne-luthérienne de la justification sans les œuvres de la Loi et par la foi seule : elle en est seulement l'accomplissement conséquent.

• SIMENON GEORGES (1903-1989)

  • Écrit par Pierre DELIGNY et Michel LEMOINE
  • 18 184 mots
  • 1 média

  On a d'ailleurs peine à imaginer le dur travail d'émondage que s'est infligé pour parvenir à ce stade dépouillé un auteur qui a montré dans ses écrits de jeunesse qu'il pouvait écrire tout autrement. Ce style, qui n'empêche pas Simenon d'obtenir quand il le faut une émotion de type lyrique, a certainement contribué au succès universel du romancier.