Affectionné
- Adjectif masculin singulier
- Verbe au participe passé masculin singulier
Définition
- pour lequel on éprouve de l'affection, chéri
Forme dérivée du verbe « affectionner »
"affectionné" dans l'encyclopédie
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WALAFRID STRABON ou WALAFRID LE LOUCHE (808 env.-849)
- Écrit par Jean-Pierre BORDIER
- 2 198 mots
Mettons à part la Vision de Hatton (Visio Wettini, 835), transcription en vers d'un récit en prose de la vision supposée qu'eut Hatton de Reichenau, maître affectionné de l'auteur, devenu plus tard évêque de Bâle, qui avait visité en rêve l'enfer et le paradis : derrière la présentation littéraire, on reconnaît l'utilisation politique de l'au-delà qui permet de fustiger les vivants par l'idée du sort des morts et d'entrer dans les querelles contemporaines entre moines, clercs et laïcs.
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GIORDANI PIETRO (1774-1848)
- Écrit par Paul LARIVAILLE
- 503 mots
Auteur de nombreux essais sur l'art et les artistes, il affectionne particulièrement les écrits brefs, les éloges, les panégyriques et surtout les épigraphes commémoratives, plus propices que d'autres genres aux formules bien frappées et à la prose oratoire, limpide et châtiée qui représente son idéal.
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TRINTIGNANT MARIE (1962-2003)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 719 mots
Révélée en 1979 par le film Série noire d'Alain Corneau, où elle incarne une jeune fille inhibée livrée par sa tante à la prostitution, Marie Trintignant, de son vrai nom Marie Marquand, affectionne les rôles de personnages atypiques, déjantés et marginaux. Dans Une affaire de femmes (1988) de Claude Chabrol, elle joue une prostituée qui donne la réplique à Isabelle Huppert, une « faiseuse d'anges » condamnée à mort en 1943.
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LIERNE & TIERCERON
- Écrit par Maryse BIDEAULT
- 836 mots
- 1 média
La combinaison des ogives, des liernes et des tiercerons caractérise les voûtes en forme d'étoile qu'affectionne l'architecture flamboyante.
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IRADJ MIRZĀ (1874/75-1926)
- Écrit par Philippe OUANNÈS
- 882 mots
Il accepte quelque temps de remplir les fonctions de poète officiel, mais sa nature calme et simple, qui affectionne surtout le ton familier, le fait bientôt renoncer aux mondanités : un poste de fonctionnaire le laisse à l'écart des tourbillons et des intrigues compliquées de la cour. Gagné, par sa formation et plus tard par ses goûts, aux idées occidentales, il introduit par ses vers des thèmes nouveaux dans la poésie iranienne : justice sociale, condition de la femme.