Aisé

"aisé" dans l'encyclopédie

• AFFIXE, linguistique

  • Écrit par Robert SCTRICK
  • 2 095 mots

  Ainsi, la séquence « habilement » comporte un affixe -ment accolé à un radical lexical qui pourrait aussi bien être aisé-, facile-, soit la classe des adjectifs en général (compte tenu de quelques spécificités phonologiques du système). Cet affixe commute avec -té dans le cas d'« habileté » ou de « facilité », mais n'a aucun rendement à partir du radical « aisé ».

• CLEF DE VOÛTE

  • Écrit par Maryse BIDEAULT
  • 970 mots

  Autour de la clef peut rayonner un nombre variable d'ogives, ce qui rend plus aisé le voûtement des parties difficiles à couvrir, telles que les travées du déambulatoire et l'abside. Les clefs de voûte, dont la complexité varie avec celle des voûtes, sont très souvent ornées soit d'une rosace de feuilles, soit d'un masque de feuilles, soit d'un blason ou même d'un petit relief historié.

• RACHITISME

  • Écrit par François BOURNÉRIAS
  • 1 272 mots

  Le diagnostic en est aisé, après constatation clinique et radiologique de lésions osseuses au niveau du crâne, des poignets, des chevilles et des jonctions chondro-costales, avec hypotonie musculaire. Dans cette forme banale, le traitement par la vitamine D entraînera habituellement une guérison avant l'apparition de déformations osseuses qui, elles, laisseraient de graves séquelles.

• BLAKE ROBERT (1599-1657) amiral anglais

  • Écrit par Roland MARX
  • 1 147 mots
  • 1 média

  Fils d'un négociant aisé, Robert Blake n'est venu à la vie militaire qu'à l'époque de la première révolution anglaise. Élu député au Long Parlement, il lève un régiment à ses frais et remporte plusieurs succès sur les royalistes. Il entre dans la vie navale en 1649 et, nommé à la tête d'une flotte, s'illustre grâce à l'audace de ses conceptions tactiques.

• RÉVOLTE DE TUPAC AMARU

  • Écrit par Olivier COMPAGNON
  • 1 116 mots

  Propriétaire relativement aisé, se présentant comme le descendant du dernier membre de la dynastie inca exécuté en 1572, Tupac Amaru parvient à réunir une armée de cinquante mille hommes dans laquelle se côtoient des Indiens, des métis, des Blancs et même quelques prêtres. Sans remettre en cause le pouvoir du roi d'Espagne, la rébellion stigmatise avant tout les multiples prélèvements qui pèsent sur l'économie indigène et les exactions de l'administration.