Alcool-éther
- Nom masculin singulier
Définition
- en chimie, solvant constitué d'un mélange d'alcool et d'éther
"alcool-éther" dans l'encyclopédie
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PIPÉRIDINE
- Écrit par Dina SURDIN
- 936 mots
Miscible à l'eau, l'alcool, l'éther ; soluble dans le benzène et le chloroforme. C'est un composé particulièrement basique : pK = 2,80 à 25 0C. Il s'agit, en effet, d'une amine secondaire et elle a donc une grande réactivité. La pipéridine présente toutefois des propriétés particulières : elle peut former de nombreux complexes avec les sels des métaux lourds.
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MANN SALLY (1951- )
- Écrit par Hervé LE GOFF
- 5 575 mots
Elle adopte alors le procédé au collodion humide, dont elle apprend à préparer les plaques d’après la recette originale d’un mélange de coton-poudre, d’alcool, d’éther, d’acides et de sels d’argent. En regard des blanches petites églises de bois, les forêts et les marais imprimeront une atmosphère sombre, vespérale ou hivernale, sinistre écho d’une époque marquée par le spectre de l’esclavage et la violence des combats, qu’amplifient les imperfections d’un procédé primitif, utilisé en leur temps par les témoins de la guerre de Sécession.
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ACÉTONE
- Écrit par Roger GALLO
- 3 519 mots
Liquide volatil incolore, d'une odeur piquante, miscible avec l'eau, l'alcool, l'éther, le chloroforme et le benzène, l'acétone, ou diméthylcétone, ou propan-2-one, a pour formule brute C3H6O : un atome de carbone C est lié par des liaisons chimiques simples à deux groupes méthyle –CH3 et par une liaison double à un atome d’oxygène O. Ses caractéristiques sont les suivantes : Masse moléculaire : 58,08 g Masse spécifique : 0,789 g/cm3 Point de fusion : — 95,3 0C Point d'ébullition : 56,2 0C Il existe trois procédés principaux de préparation industrielle de l'acétone.
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TROUBLES ADDICTIFS (ALCOOLISME, TABAGISME ET TOXICOMANIE)
- Écrit par Georges BROUSSE
- 62 914 mots
- 5 médias
La classification de Louis Lewin distingue cinq groupes de psychotropes : Euphorica (principalement les opiacés, mais également la cocaïne…), Phantastica (hallucinogènes…), Inebriantia (alcool, éther…), Excitantia (caféine, tabac, khat…) et Hypnotica (barbituriques, hydrate de chloral…). La classification de Jean Delay et Pierre Deniker distingue les drogues en trois catégories selon leur activité sur le système nerveux central : les sédatifs psychiques ou psycholeptiques tels que les hypnotiques, neuroleptiques, tranquillisants ou anxiolytiques ; les psychoanaleptiques ou excitants psychiques tels que les amphétamines (nooanaleptiques), les antidépresseurs ou encore les stimulants divers (khat…) ; les psychodysleptiques comprenant la plupart de ce que nous appelons classiquement les « drogues », à savoir les hallucinogènes (mescaline, peyotl, kétamine, phencyclidine, psilocybine ou champignons, LSD), les stupéfiants (morphine, héroïne, opium), le cannabis et l'alcool.