All right
Définition
- (mot anglais) tout va bien, tout se passe comme prévu
"all right" dans l'encyclopédie
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SUN RECORDS
- Écrit par Charlie GILLETT et Encyclopædia Universalis
- 2 095 mots
L'année suivante, Sam Phillips commence à faire enregistrer son premier chanteur blanc, Elvis Presley, alors inconnu, mais dont les cinq singles (dix titres) qui seront enregistrés chez Sun Records restent parmi les plus grands succès pop du xxe siècle : That's All Right et Blue Moon of Kentucky, Good Rockin' Tonight et I Don't Care If The Sun Don't Shine, Milkcow Blues Boogie et You're A Heartbreaker (1954), Baby Let's Play House et I'm Left, You're Right, She's Gone, I Forgot To Remember To Forget et Mystery Train (1955).
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APGAR VIRGINIA (1909-1974)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 310 mots
Virginia Apgar signe, avec Joan Beck, l'ouvrage Is My Baby All Right ? (1972, « Est-ce que mon bébé va bien ? »). Elle s'éteint deux ans plus tard, le 7 août 1974, à New York.
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PRESLEY ELVIS (repères chronologiques)
- Écrit par Eugène LLEDO
- 2 707 mots
5 juillet 1954 Presque fortuitement, le trio formé par Scotty Moore (guitare), Bill Black (basse) et Elvis Presley (guitare et voix) enregistre à Memphis un blues d'Arthur « Big Boy » Crudup, That's All Right, Mama, un premier succès pour Elvis et le label Sun Records de Sam Phillips. 2 juillet 1956 Au studio R.C.A. de New York, Elvis Presley enregistre Hound Dog, Don't Be Cruel et Any Way You Want Me pour le label Sun Records.
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ROGERS JIMMY (1924-1997)
- Écrit par Gérard HERZHAFT
- 2 892 mots
En 1950, il grave sous son nom deux titres (That's All Right et Ludella) qui se vendent substantiellement à Chicago et dans le Sud. Avec l'harmonica de Little Walter et la contrebasse de Big Crawford, l'atmosphère est immanquablement terrienne mais en même temps, et contrairement à Muddy Waters, qui prolonge l'œuvre des grands bluesmen du Delta, il y a quelque chose de plus policé dans le blues très décontracté de Rogers.
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ATTENBOROUGH RICHARD (1923-2014)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 987 mots
Il recueille les éloges pour ses interprétations d’un voyou sociopathe dans Le Gang des tueurs (Brighton Rock, 1947), d’un soldat dans la comédie Ce Sacré z’héros (Private’s Progress, 1956) et sa suite, Après moi le déluge (I’m All Right Jack, 1959). Un autre de ses rôles marquants sera celui du chef d’escadron qui conçoit un plan pour s’évader d’un camp de prisonniers de guerre allemand dans La Grande Évasion (The Great Escape, 1963).