Allantoïdienne
- Adjectif féminin singulier
Définition
- en embryologie, concernant l'allantoïde, membrane de l'embryon chez les vertébrés
"allantoïdienne" dans l'encyclopédie
-
EMBRYOLOGIE
- Écrit par Maurice PANIGEL, Josselyne SALAÜN, Denise SCHEIB et Jean SCHOWING
- 73 030 mots
- 17 médias
Les parois de l'allantoïde se distendent tandis que s'élargit la cavité allantoïdienne. L'allantoïde s'étale progressivement tout autour de l'embryon et finit par s'accoler à la face profonde du chorion ovulaire pour former la membrane chorio-allantoïdienne, très vascularisée, zone d'échanges respiratoires intenses entre le sang de l'embryon et le milieu extérieur.
-
MARSUPIAUX ou MÉTATHÉRIENS
- Écrit par Yves FRANÇOIS et Michel TRANIER
- 27 730 mots
- 5 médias
On a vu que ces animaux sont les seuls marsupiaux à présenter une placentation allantoïdienne rudimentaire. Répartition et évolution La répartition actuelle, discontinue, des Marsupiaux et leur grande diversité, dans la région australienne particulièrement, ont intrigué depuis longtemps les zoologues. Les données phylogénétiques amènent à considérer que les Marsupiaux sont apparus vers le milieu du Jurassique, il y a quelque 170 millions d'années), comme les Placentaires dont ils sont le groupe frère, sans doute dans l'hémisphère Nord.
-
MAMMIFÈRES
- Écrit par Pierre CLAIRAMBAULT, Robert MANARANCHE, Pierre-Antoine SAINT-ANDRÉ et Michel TRANIER
- 59 368 mots
- 21 médias
Pour les paléontologues, toujours, les Téthythères peuvent être groupés avec les Hyracoïdes (damans) en un superclade des Pénongulés sur la base de plusieurs caractères dérivés communs, comme l'expansion du squamosal (un os du crâne) dissimulant la face ventro-latérale du processus mastoïde, l'extension du jugal vers la fosse glénoïde, l'existence d'un placenta zonaire dans le développement de la membrane fœtale, d'un sac vitellin libre et réduit et d'une vésicule allantoïdienne bien développée et quadrilobée.
-
VIROLOGIE
- Écrit par Sophie ALAIN, Michel BARME, François DENIS et Léon HIRTH
- 57 511 mots
- 8 médias
On utilise au laboratoire une grande variété d'animaux et de voies d'inoculation dont voici quelques exemples : voie intracérébrale chez la souris ou le lapin pour le virus de la rage, poche jugale du hamster nouveau-né pour certains virus cancérigènes, virus de la vaccine inoculé par scarifications cutanées ou cornéennes chez le lapin, cavité amniotique ou allantoïdienne de l'œuf de poule embryonné pour le virus de la grippe, voie intrapéritonéale avec les virus coxsackie chez le souriceau nouveau-né.