Amritâ
- Nom masculin singulier
Définition
- en mythologie, en Inde, élixir d'immortalité
"amritâ" dans l'encyclopédie
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MAITREYA OU LE BUDDHA DU FUTUR, art kouchan (Inde)
- Écrit par Bruno DAGENS
- 1 033 mots
Sa posture, son nimbe, sa perfection sereine annoncent son rang futur, tandis que le flacon d'amrita – liqueur d'immortalité – qu'il tient à la main le place au rang des immortels qui traversent le temps cosmique.
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HAOMA
- Écrit par Jean VARENNE
- 1 732 mots
- 1 média
De toute façon, le haoma ou soma est essentiellement un breuvage d'immortalité, le nectar (en iranien, ameretāt ; en sanskrit, amrita) par lequel les dieux ont obtenu, au commencement, leur statut d'immortels, et grâce auquel les hommes qui en sont dignes gagnent aussi le droit de séjourner au ciel après leur mort. La réforme zoroastrienne (~ viie s.
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PRAWER JHABVALA RUTH (1927-2013)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 554 mots
Les deux premiers romans de Ruth Prawer Jhabvala, To Whom She Will (1955, publié sous le titre Amrita aux États-Unis et traduit sous le titre Ce que fille veut en France) et The Nature of Passion (1956), lui valent la reconnaissance de la critique pour leurs descriptions fines et pleines d'esprit de la société indienne et de ses mœurs. On la compare fréquemment à Jane Austen en raison de ses analyses minutieuses d'un univers étriqué par ses conventions.
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AMRITSAR
- Écrit par François DURAND-DASTÈS
- 2 821 mots
- 3 médias
Le nom d'Amritsar provient d'Amrita Saras (étang de Nectar). L'origine mythique de cette cité se rattache à sa fondation par le quatrième guru Ram Das, en 1574, qui ordonna de creuser un étang à l'emplacement de la ville, étang qui devait contenir le nectar sacré de la mythologie indo-européenne. Le Temple d'or des sikhs, appelé aussi Darbar Sahib (Cour divine), est construit sur une petite île au milieu de cet étang.
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PANJĀBĪ LANGUE & LITTÉRATURE
- Écrit par Denis MATRINGE
- 8 404 mots
), la littérature pañjābī est aujourd'hui imprégnée d'autres courants occidentaux comme la psychanalyse et l'existentialisme, ou encore la pratique du monologue intérieur (Amritā Prītam, Balvant Gārgī...).