Anadyomène
- Adjectif singulier invariant en genre
Définition
- en zoologie, sortant de l'eau
"anadyomène" dans l'encyclopédie
-
INGRES ET LE NU (repères chronologiques)
- Écrit par Barthélémy JOBERT
- 2 605 mots
1848 Ingres reprend, pour le terminer, un tableau commencé en 1808 à Rome, Vénus anadyomène (musée Condé, Chantilly). Le tableau, exposé en 1848 puis à nouveau en 1855, est très admiré. 1856 Ingres achève La Source (musée d'Orsay, Paris), commencée à Florence en 1820, et peut-être inspirée des nymphes sculptées par Jean Goujon à la Fontaine des Innocents à Paris.
-
CAHIERS DE DOUAI (A. Rimbaud) Fiche de lecture
- Écrit par Yves LECLAIR
- 4 595 mots
- 1 média
», « Le Mal », « Le Dormeur du val ») ; s’il raille la bourgeoisie, ses « bêtises jalouses » (« À la musique ») ou ses sombres secrets (« Le Buffet »), il s’apitoie sur la misère du peuple (« Le Forgeron », « Les Effarés ») ; il s’attaque à la religion catholique, à l’hypocrisie des dévots (« Le Châtiment de Tartufe »), à un dieu cruel (« Le Mal ») ; il détourne les traditions culturelles et littéraires (« Vénus Anadyomène », « Bal des pendus »).
-
HISTOIRE NATURELLE. LIVRE XXXV, Pline l'Ancien Fiche de lecture
- Écrit par Adrien GOETZ
- 5 879 mots
Les représentations des batailles, des dieux – Jupiter trônant ou Vénus anadyomène ont inspiré Ingres –, jusqu'aux portraits des souverains sont décrits par Pline : à partir de la Renaissance, les artistes n'eurent plus qu'à les réinventer. C'est dans Pline que se trouve le trésor d'anecdotes reprises à satiété dans toutes les biographies d'artistes : le génie repéré dès l'enfance, l'habileté du peintre qui se traduit par une simple ligne tracée à main levée, le maître dépassé un jour par l'élève.
-
INGRES JEAN AUGUSTE DOMINIQUE (1780-1867)
- Écrit par Jean LACAMBRE
- 13 273 mots
- 9 médias
C'est pourquoi les dernières toiles, la Vénus Anadyomène (1848, musée de Chantilly), La Vierge à l'hostie (1854, musée d'Orsay), Le Bain turc (1862, musée du Louvre) apparaissent comme les œuvres modèles du peintre. La beauté du jeu compliqué des gestes et des lignes est plus apparente encore dans un tableau demeuré à l'état d'ébauche, Jésus au milieu des docteurs (1862, musée de Montauban).
-
APELLE (IVe s. av. J.-C.)
- Écrit par Adrien GOETZ
- 13 469 mots
- 1 média
Il inventa des représentations divines avec leurs attributs, Vénus Anadyomène, qui fixe l'image classique de la déesse sortant des flots, Alexandre en majesté, tenant le foudre comme s'il était Zeus, peint pour le temple d'Artémis à Éphèse, Castor et Pollux. Apelle multiplie les prouesses : raccourcis, personnages de dos, comme son Héraclès, pourtant immédiatement identifiable, cheval si bien fidèle qu'il trompe de vrais chevaux, illustrations de l'irreprésentable comme les éclairs ou le tonnerre.