Ba
Issu de la forme : ba
- Nom féminin singulier
Définition
- en chimie, symbole du baryum
"ba" dans l'encyclopédie
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BÂ AMADOU (1944- )
- Écrit par Philippe BOUCHET
- 4 238 mots
Silencieux et réservé, leur caractère se retrouve dans la peinture, discrète et secrète d'Amadou Bâ. Amadou Bâ met en valeur le monde rural par des couleurs douces et un style guidé par une grande recherche esthétique. Sa culture traditionnelle s'allie toutefois à la modernité de ses inspirateurs, Picasso, Dominguez et Klee, dont il a subtilisé les géométries légères et les disproportions ironiques.
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BÂ AMADOU HAMPATÉ (1901-1991)
- Écrit par Jean-Louis JOUBERT
- 2 994 mots
Wangrin, comme toute l'œuvre d'Hampaté Bâ, fait pénétrer dans l'intimité d'une Afrique fidèle à son génie.
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BA JIN [PA-KIN] (1904-2005)
- Écrit par Paul BADY
- 12 696 mots
Désormais, il ne pourra plus employer que le pseudonyme adopté à l'occasion de cette publication : « Ba » – où certains ont vu Bakounine mais où l'écrivain prétend n'avoir jamais voulu mettre autre chose que le souvenir d'un de ses amis, Ba Enbo, qui se serait suicidé en se jetant dans la Loire – et « Jin » – transcription phonétique chinoise du « kin » de Kropotkine.
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FAMILLE, Ba Jin Fiche de lecture
- Écrit par Angel PINO
- 5 309 mots
Publié par Ba Jin (1904-2005) en 1931 et 1932 dans Le Temps de Shanghai, puis en volume en 1933, Famille (Jia) est le premier volet d'une trilogie, Jiliu (Le Torrent), qui retrace la chronique des Gao – un clan de Chengdu, dans le Sichuan, au centre de la Chine –, et leur déclin. La composition de l'ensemble – plus de 1 600 pages au total — s'est étendue sur dix ans : Printemps (Chun) a paru en 1938, et Automne [Qiu], en 1940.
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NŌRŪZ ou NOURUZ
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 980 mots
Pour les Parsis, le Nōrūz est un jour de fête yashan, c'est-à-dire comportant cinq rites : l'āfringān, qui comprend des prières d'amour ou de louanges ; le bā, qui comprend des prières adressées aux yasata, les anges, ou aux fravashi, les anges gardiens ; le yasma, au cours duquel est célébrée l'offrande du haoma, le fravartigan, ou farokhshi, pendant lequel sont récitées des prières de commémoration des morts ; enfin le satum, qui reprend les prières des fêtes funéraires.