Baillet

"baillet" dans l'encyclopédie

• BAILLET-LATOUR HENRI DE (1876-1942)

  • Écrit par Pierre LAGRUE
  • 3 461 mots

  Aristocrate belge, le comte Henri de Baillet-Latour fut président du Comité international olympique (C.I.O.) de 1925 à 1942. À ce poste, il s'évertua à maintenir l'olympisme à flot. Mais cela n'alla pas sans quelques compromis à l'occasion des Jeux de Garmisch-Partenkirchen et de Berlin organisés par l'Allemagne nazie en 1936. Henri de Baillet-Latour est né le 1er mars 1876 à Bruxelles.

• CLERSELIER CLAUDE (1614-1684)

  • Écrit par Paul DIBON
  • 2 915 mots

  Toujours selon Baillet, il fit retoucher à Descartes son Traité des passions de l'âme pour le mettre à la portée du public. Ce n'est pas le moindre de ses mérites que d'avoir procuré l'édition d'œuvres posthumes du philosophe, telles que L'Homme de René Descartes et la formation du fœtus (1664), Le Monde ou le Traité de la lumière (1677), la réédition en 1661 des Méditations métaphysiques.

• BERLIN (JEUX OLYMPIQUES DE) [1936] Les nazis et l'olympisme

  • Écrit par Pierre LAGRUE
  • 17 275 mots
  • 2 médias

  Henri de Baillet-Latour adresse certes de nombreuses mises en garde au führer au sujet du respect de la Charte olympique et du protocole, mais il se satisfait à chaque fois des réponses, verbales ou écrites, du chancelier du Reich, et de quelques petites reculades nazies. Pourtant, dès le mois de mai 1933, Henri de Baillet-Latour écrit à tous les membres du C.

• DESARGUES GÉRARD (1591-1661)

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 1 539 mots

  D'après le biographe de Descartes, Adrien Baillet, il servait au siège de La Rochelle, en 1628, où il aurait rencontré Descartes. Vers 1630, il faisait partie d'un groupe de mathématiciens, à Paris, dont le plus connu est Mersenne. Passionné de musique, Desargues écrivit, en 1636, un petit manuel de composition musicale. La même année, il publia son Traité de la section perspective.

• LITTÉRATURE D'ÉRUDITION (XVII^e s.)

  • Écrit par Marie-Madeleine FRAGONARD
  • 6 786 mots

  Baillet). Mais l'accumulation des faits ne peut rien contre la mise en perspective critique (à moins qu'elle ne l'aide). De la lignée philologique viennent les originaux (orientalisants comme G. Sionita) et les subversifs, qui appliquent à la Bible les principes de la critique de texte et font éclater son unité présumée : les protestants Bochart et J.