Balançoire
- Nom féminin singulier
Définition
- siège suspendu par deux cordes et pouvant se balancer
- pièce de bois en équilibre sur son milieu
- argotiquement, mensonge ou délateur
"balançoire" dans l'encyclopédie
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ÉNERGIE Vue d'ensemble
- Écrit par Jean MATRICON
- 9 065 mots
En effet, la balançoire finira par s'arrêter, ce qui nous laisse penser qu'il y a quand même une sorte de « perte » de l'énergie, du moins de celle que nous venons de décrire. Il existe plusieurs sortes d'énergies de mouvement : celle de la balançoire en pleine lancée, celle du train qui roule ou d'une météorite qui fonce à travers le cosmos appartiennent au même type : l'énergie cinétique d'un solide qui se déplace en bloc.
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GRANGER FARLEY (1925-2011)
- Écrit par Melinda C. SHEPHERD et Encyclopædia Universalis
- 2 217 mots
Après avoir joué dans The Girl in the Red Velvet Swing (1955, La Fille sur la balançoire) de Richard Fleischer, Farley Granger part s'installer à New York pour étudier l'art dramatique et poursuivre une carrière sur les planches. Il fait alors de fréquentes apparitions sur le petit écran et au théâtre, notamment dans plusieurs productions de Broadway et au sein de la troupe Circle Repertory Company pour le spectacle Talley and Son (1985) de Lanford Wilson ; cette dernière prestation lui vaut l'Obie Award (récompense théâtrale décernée aux productions off-Broadway par le magazine Village Voice) du meilleur interprète masculin.
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GIRARDOT ANNIE (1931-2011)
- Écrit par Alain GAREL
- 3 487 mots
Elle confirme son talent, doublé d'une extraordinaire présence magnétique à l'écran, en partie due à sa beauté, dans Rocco e i suoi fratelli (Rocco et ses frères) de Luchino Visconti (1960) qui l'avait dirigé peu auparavant sur scène, en 1958, au Théâtre des Ambassadeurs à Paris, dans Deux sur la balançoire, de William Gibson. Au cours de la décennie suivante, Annie Girardot conforte son statut de vedette, tournant dans près de quarante films, alternant films d'auteur et films commerciaux, films comiques et films dramatiques, films français et films italiens ; ainsi, La Proie pour l'ombre d'Alexandre Astruc (1960), Le Bateau d'Émile de Denys de La Patellière (1961), Le Vice et la vertu de Roger Vadim (1962), I Compagni (Les Camarades) de Mario Monicelli (1963), La Donna scimmia (Le Mari de la femme à barbe) de Marco Ferreri (1963), Trois Chambres à Manhattan de Marcel Carné (1965), qui lui vaut un prix d'interprétation à la Mostra de Venise, Vivre pour vivre de Claude Lelouch (1967), qui lui vaut un prix d'interprétation au festival de Mar del Plata, Dillinger est mort de Marco Ferreri (1969).
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GARCIA NICOLE (1948- )
- Écrit par René PRÉDAL
- 4 377 mots
Elle débute à l'écran en 1974 avec Que la fête commence de Bertrand Tavernier, sans abandonner vraiment les planches (Deux sur la balançoire de W. Gibson, dirigé par Bernard Murat en 1986 et 1987). En 1980, elle obtient le César du meilleur second rôle pour Le Cavaleur (Philippe De Broca). La même année, Les Uns et les autres (Claude Lelouch) et surtout, Mon oncle d'Amérique (Alain Resnais), où elle tient le rôle principal de Janine qui prend son destin en main, vont l'amener à travailler essentiellement pour un cinéma d'auteur exigeant signé Pierre Schoendoerffer, Laurent Heynemann, Claude Sautet, Joël Santoni, Jacques Rouffio, Nadine Trintignant, Bertrand Blier, Brigitte Roüan, Lucas Belvaux ou Claire Simon.
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THULIN INGRID (1926-2004)
- Écrit par Joël MAGNY
- 4 438 mots
- 1 média
On la voit dans Eurydice, de Jean Anouilh, La guerre de Troie n'aura pas lieu, de Jean Giraudoux, Deux sur la balançoire, de Willliam Gibson. En 1959, elle incarne, sous la direction de Bergman, le personnage de Rose dans une pièce de Hjalmar Bergman, Une saga. Avant Les Fraises sauvages, elle avait participé, depuis 1948, à une quinzaine de films, parfois sous la direction de grands noms du cinéma suédois comme Gustaf Molander ou Arne Mattsson.