Barbière
- Nom féminin singulier
Définition
- en histoire, pièce d'armure protégeant le cou et le bas du visage
"barbière" dans l'encyclopédie
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DEL BARBIERE DOMENICO, dit DOMINIQUE FLORENTIN (1506 env.-env. 1565)
- Écrit par Sylvie BÉGUIN
- 1 619 mots
Né à Florence, formé en Italie où, comme beaucoup d'artistes de cette époque, il subit l'influence de Michel-Ange, Dominique Florentin arrive en France sans doute avant Rosso, mais il n'est mentionné à Fontainebleau qu'entre 1537 et 1540, d'abord comme stucateur. De 1540 à 1550, il collabore avec Primatice et devient un des artistes les plus en vue, car les comptes révèlent qu'il est parmi les mieux rétribués.
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ROSSINI GIOACCHINO (repères chronologiques)
- Écrit par Christian MERLIN
- 3 349 mots
- 11 médias
20 février 1816 Il Barbiere di Siviglia (Le Barbier de Séville), commedia en deux actes sur un livret de Cesare Sterbini d'après Beaumarchais, est créé au Teatro Argentina de Rome, sous le titre Almaviva, ossia L'inutile precauzione, afin d'éviter toute confusion avec Il Barbiere di Siviglia de Giovanni Paisiello (1782). 4 décembre 1816 Otello, ossia il moro di Venezia, dramma en trois actes sur un livret de Francesco Maria Berio di Salsa, est créé au Teatro del Fondo de Naples.
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GROTESQUES, histoire de l'art
- Écrit par Peter FUHRING
- 3 033 mots
Plusieurs séries d'estampes ont fait connaître ces décors et ont contribué à la diffusion des grotesques en Europe : en France, par exemple, les estampes de Domenico del Barbiere, avant 1566, et de Jacques Androuet du Cerceau en 1566. Après la Contre-Réforme, dans la seconde moitié du xviie siècle et durant tout le xviiie siècle, les grotesques ont connu un renouveau d'intérêt, les artistes se détachant alors des exemples de l'Antiquité romaine et de la Renaissance (J.
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PAISIELLO GIOVANNI (1740-1816)
- Écrit par Marc VIGNAL
- 3 154 mots
Appelé par Catherine II à Saint-Pétersbourg en 1776, il y reste huit ans et y fait représenter notamment son œuvre la plus célèbre : Le Barbier de Séville (Il Barbiere di Siviglia, 1782), d'après Beaumarchais. Le succès en sera tel à travers toute l'Europe, et durera si longtemps, qu'en 1816 encore le public romain se refusera pour un temps à prêter attention à la partition du même nom de Rossini.
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FONTAINEBLEAU ÉCOLE DE
- Écrit par Sylvie BÉGUIN
- 20 812 mots
- 9 médias
Ainsi se sont trouvés catalogués dans l'école de Fontainebleau le groupe d'eaux-fortes étudiées par Bartsch, des graveurs au burin (Milan, Boyvin, Domenico del Barbiere), des graveurs reproduisant des compositions d'artistes de Fontainebleau (Delaune, Du Cerceau, Galle, Bonasone), sans oublier un supplément, que Bartsch ignorait, comprenant des graveurs français (Dumonstier, L.