Barbier
- Nom masculin singulier
Définition
- anciennement, personne rasant la barbe et exerçant la chirurgie
- qui rase la barbe et le visage
"barbier" dans l'encyclopédie
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BARBIER GEORGE (1882-1932)
- Écrit par Guillaume GARNIER
- 3 794 mots
L'illustrateur de mode George Barbier est une des figures fascinantes de l'Art déco. D'un style graphique accompli, les vignettes qu'il a composées apportent une vision à la fois sophistiquée et sereine du monde de la mode. Barbier fut également un illustrateur de livres. Né à Nantes en 1882, il effectue ses études à l'École des beaux-arts de Paris dans l'atelier de Jean-Paul Laurens.
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BARBIER AUGUSTE (1805-1882)
- Écrit par Jean MASSIN
- 3 000 mots
Car, si tous les livres d'Auguste Barbier n'étaient pas d'une authenticité indiscutable, aucun spécialiste n'oserait imaginer que l'auteur des Iambes soit le même que celui d'Il Pianto, des Rimes légères, Chansons et Odelettes ou des Silves ; ou bien faut-il conclure avec Baudelaire : « Chez Auguste Barbier, naturellement poète, et grand poète, le souci perpétuel et exclusif d'exprimer des pensées honnêtes ou utiles a amené peu à peu un léger mépris de la correction, du poli et du fini, qui suffirait à lui seul pour constituer une décadence.
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LE BARBIER DE SÉVILLE (G. Rossini)
- Écrit par Christian MERLIN
- 1 148 mots
- 1 média
Le 20 février 1816, au Teatro Argentina de Rome, la création du Barbier de Séville, opéra bouffe (commedia) en deux actes de Gioacchino Rossini sur un livret de Cesare Sterbini d'après Beaumarchais, est un four. Et pourtant, l'œuvre passera à la postérité non seulement comme la plus populaire de son auteur, mais aussi comme l'archétype de l'opéra bouffe.
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LE BARBIER DE SÉVILLE, Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais Fiche de lecture
- Écrit par Pierre FRANTZ
- 7 900 mots
En 1816, Gioacchino Rossini a donné une étincelante version pour l'opéra du Barbier de Séville.
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SWEENEY TODD, LE DIABOLIQUE BARBIER DE FLEET STREET (T. Burton)
- Écrit par Marc CERISUELO
- 4 933 mots
Benjamin Barker était un barbier, marié à une splendide jeune femme (« There was a barber and his wife / And she was beautiful », chante le personnage principal au début du film, dans une extraordinaire diatribe pleine de haine intitulée « No Place Like London ») et père d'une petite fille nommée Johanna. Mais un juge aussi puissant que roué (interprété par Alan Rickman) enleva femme et enfant à Benjamin Barker.