Barcarolle

"barcarolle" dans l'encyclopédie

• BARCAROLLE

  • Écrit par Pierre-Paul LACAS
  • 1 431 mots

  Mendelssohn (« Venetianisches Gondellied », dans les Romances sans paroles), Tchaïkovski, Dvořák, Massenet ont beaucoup plu dans les salons de leur temps en utilisant de tels moyens ; mais n'ont-ils pas trop sacrifié à une convention esthétique passagère ? Toutefois, on doit mettre à part la Barcarolle en fa dièse majeur, opus 60, de Chopin, les treize barcarolles de Fauré, la barcarolle, opus 108, de Saint-Saëns, celle enfin qui est extraite des cinq pièces qui composent Im Freien de Bartók.

• LONG MARGUERITE (1874-1966)

  • Écrit par Pierre BRETON
  • 5 088 mots

  Elle a créé plusieurs pages de Fauré – Neuvième Barcarolle (1909), Cinquième Impromptu (1909), Préludes op. 103 nos 1 à 3 (1910) – ainsi que Étude pour les arpèges composés et Étude pour les cinq doigts, de Claude Debussy (1917). Avant tout grande pédagogue dans la tradition française, Marguerite Long s'est beaucoup consacrée au développement de ce style de jeu.

• OFFENBACH JACQUES (repères chronologiques)

  • Écrit par Timothée PICARD
  • 5 020 mots
  • 7 médias

  Un passage de cet ouvrage sera réutilisé pour la célèbre barcarolle des Contes d'Hoffmann. 17 décembre 1864 La Belle Hélène, opéra bouffe en trois actes sur un livret d'Henri Meilhac et Ludovic Halévy, est créé triomphalement au Théâtre des Variétés, avec Hortense Schneider (Hélène), José Dupuis (Pâris) et Léa Sully (Oreste) dans les rôles principaux.

• FAURÉ GABRIEL (1845-1924)

  • Écrit par Marie-Claire BELTRANDO-PATIER
  • 7 519 mots
  • 1 média

   de la Ville de Mirmont, 1921), à la musique de chambre (2 Sonates pour violoncelle et piano, 1917 et 1921 ; 2e Quintette, 1921) et aux œuvres pour piano (13e Nocturne, 1921 ; 13e Barcarolle, 1921). Il termine sa dernière œuvre, le Quatuor à cordes opus 121, le 11 septembre 1924. Il meurt peu après à Paris, le 4 novembre 1924. Dernier grand musicien romantique, Fauré, enfermé dans sa surdité, n'a pas connu les grands bouleversements de la vie musicale contemporaine et s'est réfugié dans une esthétique purement individuelle, faite d'austérité et de dépouillement.

• OFFENBACH JACQUES (1819-1880)

  • Écrit par Alain PÂRIS
  • 9 871 mots
  • 1 média

  En 1864, à l'Opéra de Vienne, il donne Die Rheinnixen, opéra romantique en trois actes (où figure le thème qui deviendra celui de la barcarolle des Contes d'Hoffmann), et, à nouveau, s'égare hors de son domaine... La Belle Hélène (1864) le ramène à la réalité : il continue d'exploiter la veine mythologique et construit un rôle sur mesure pour Hortense Schneider.