Barcelonais
- Nom masculin invariant en nombre
Définition
Employé comme adjectif
- relatif à la ville de Barcelone
Employé comme nom
- habitant ou originaire de Barcelone
"barcelonais" dans l'encyclopédie
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BARCELONE
- Écrit par Robert FERRAS et Jean-Paul VOLLE
- 20 069 mots
- 7 médias
Identité(s) des Barcelonais Être Barcelonais, c'est soulever la question de l'intégration dans une ville-creuset, cosmopolite, qui accueille les migrants, longtemps venus du sud de l'Espagne et des provinces pauvres, aujourd'hui relayés par les étrangers, notamment européens, et plus encore méditerranéens et africains. Le prolétaire et l'entrepreneur se sont souvent côtoyés dans Barcelone, le peón en faisant une ville andalouse, l'empresari (« entrepreneur »), une ville d'Europe du Nord.
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BOHIGAS ORIOL (1925-2021)
- Écrit par Francis RAMBERT
- 3 136 mots
Bohigas maîtrise cette culture catalane, fondée sur l'utilisation de la brique, dans des ensembles de logements barcelonais comme l'îlot Pallars, ensemble d'habitations pour les ouvriers (1958-1959), la résidence Meridiana (1959-1965), ou la résidence Casa de la Torre (1971-1975) dont la tour, point d'articulation de cette opération de 27 logements, fait office de signal dans la banlieue.
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COSTA BRAVA
- Écrit par Robert FERRAS
- 1 886 mots
Littoral de la province de Gérone entre la frontière française et le Tordera qui la sépare du Maresme barcelonais. Ce « finisterre » catalan dit Côte de Gérone ou Costa de Levante est entré dans la catégorie des plages très fréquentées sous le nom de côte brava (sauvage), rocheuse et malaisée d'accès, interrompue par des cales ménageant des abris naturels.
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CHURRIGUERA LES
- Écrit par Marcel DURLIAT
- 2 494 mots
Les frères Churriguera (José Benito, Manuel, Joaquín, Alberto, Miguel) étaient fils du sculpteur catalan José Simón Churriguera ; à la mort de celui-ci, en 1679, ils furent recueillis par leur parâtre, le sculpteur barcelonais José Rates y Dalmau, établi à Madrid ; trois d'entre eux illustreront le nom de Churriguera. José Benito (Madrid, 1665-1725) devient le chef de la famille en 1684, à la mort de José Rates y Dalmau.
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ADRIÀ FERRAN (1962- )
- Écrit par Jean-Claude RIBAUT
- 8 030 mots
En 2005, cet éditeur et mécène barcelonais avait vendu ses 20 p. 100 du capital de la société d’El Bulli à ses deux associés, pour une somme jugée dérisoire par sa femme et ses enfants. Le conflit n'aurait été qu'un litige financier, si, selon la presse espagnole et les plaignants, Miguel Horta, malade, n'avait fait l'objetd'un abus de faiblesse. L'affaire est jugée au civil en 2018.