Beaux-pères
- Nom masculin pluriel
Définition
- père du conjoint et nouveau mari de la mère
"beaux-pères" dans l'encyclopédie
-
PARAPHILIES ET TROUBLES PARAPHILIQUES
- Écrit par Florence THIBAUT
- 35 474 mots
Les pères ou beaux-pères incestueux sont souvent âgés de plus de quarante ans, bien insérés et sans antécédents judiciaires. L'inceste est, dans ce cas, généralement associé à de fortes consommations d'alcool et à des relations conjugales conflictuelles. Dans la population générale, des sondages anonymes récents réalisés en Europe rapportent qu'entre 0,3 p.
-
ÉCONOMIE (Définition et nature) Enseignement de l'économie
- Écrit par Jean-Marc DANIEL
- 30 532 mots
Charles Gide essaie de secouer un système quasi familial où les membres de la Société d'économie politique monopolisent la parole et se cooptent entre eux, les gendres prenant le relais des beaux-pères. Pour cela, il crée en 1887 la Revue d'économie politique qui se veut une rivale du Journal des économistes. La revue mène une politique éditoriale visant à dépasser l'enseignement économique libéral classique et à intégrer l'approche mathématique qui est en train de triompher en Angleterre avec la nomination d'Alfred Marshall à Cambridge et celle de Francis Ysidro Edgeworth à Oxford.
-
LITTÉRATURE & PSYCHANALYSE
- Écrit par Jean BELLEMIN-NOEL
- 42 384 mots
Quel plaisir de faire comme tant de héros massacrant à l'envi marâtres, beaux-pères, ogres et sorcières, sans parler des frères et sœurs ! Que de crimes commis avec la bénédiction supposée de Ma Mère l'Oye ! Ce monde de fées apporte aux jeunes auditeurs plus de bénéfices en leur assurant par l'exemple innocence et liberté de rêver, qu'en leur serinant des leçons d'opportunisme ou de raison.
-
SALARIAT
- Écrit par Denis CLERC
- 48 096 mots
- 2 médias
Cette forme d'ascension sociale était pourtant mal vue, comme en témoignent les innombrables contes qui mettent en scène des beaux-pères maltraitant les enfants du premier lit. Le plus souvent, cependant, le journalier, pour compléter ses maigres gages et nourrir sa famille, devait mettre celle-ci au travail : travail des enfants – ramasseurs de bois mort, gardeurs d'oies, tireurs d'eau –, que l'on rémunérait d'un morceau de pain ou qui glanaient leur pitance ; travail de l'épouse – blanchisseuse, lavandière, serveuse.
-
MAGIE
- Écrit par René ALLEAU et Roger BASTIDE
- 61 866 mots
- 1 média
Chez les Navajo, où la résidence est patrilocale, les femmes accusent leurs beaux-pères, tandis que, dans les montagnes Nuba du Soudan, c'est le frère de la mère du mari qui est suspecté. Très souvent, la magie n'a d'efficacité que dans un clan – ou dans une moitié – ou encore, lorsque des Blancs se trouvent en contact avec des indigènes, on considère que le pouvoir magique n'a plus d'efficacité contre les Européens.