Bienfaisant
- Adjectif masculin singulier
Définition
- ayant un effet salutaire, faisant du bien
"bienfaisant" dans l'encyclopédie
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PLANTES MÉDICINALES
- Écrit par Jacques DAUTA
- 1 336 mots
En botanique et en pharmacie, les plantes médicinales sont reconnues pour offrir, par leur administration, un effet bienfaisant et thérapeutique sur l'organisme. Employées depuis la plus haute antiquité, souvent en relation avec des pratiques magiques, leurs propriétés réelles ont, à toute époque, été exagérées, ou niées, ou déformées selon les croyances en vigueur.
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PTOLÉMÉE VI PHILOMÉTOR (186-145 av. J.-C.) roi d'Égypte (181-145 av. J.-C.)
- Écrit par Joseph MÉLÈZE-MODRZEJEWSKI
- 1 481 mots
Le jugement de Caton le Censeur qui le qualifie de « roi très bon et bienfaisant » (rex optimus et beneficissimus) ne paraît pas exagéré.
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DÉMONOLOGIE
- Écrit par René ALLEAU
- 16 017 mots
L'histoire de ce conflit, auquel l'homme participe aux côtés de Spenta Mainyu, l'Esprit bienfaisant, se confond avec l'histoire du monde. La vie n'est qu'une croisade contre les puissances du Mal ; la création entière, elle-même, doit lutter pour s'élever au sommet de la perfection. L'Esprit bienfaisant n'est pas entièrement libre d'agir à son gré ; depuis qu'il est venu à l'existence, il a toujours rencontré l'opposition irréductible du Mauvais Esprit.
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JUSTICE ROYALE
- Écrit par Solange MARIN
- 2 777 mots
L'exercice de la justice retenue paraissait normal et même bienfaisant aux Français habitués à concevoir la royauté comme agissant sous l'inspiration divine. Ce n'est qu'au xviiie siècle, sous l'influence de la rationalisation des Lumières, qu'il fut de plus en plus considéré comme un privilège exorbitant dont les lettres de cachet constituaient le symbole détesté.
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DU CAMP MAXIME (1822-1894)
- Écrit par Daniel OSTER
- 4 464 mots
- 1 média
Élu à l'Académie française en 1880, Maxime Du Camp consacrera ses dernières années à l'examen clinique et éthique d'une capitale qui aura survécu à la Commune : Les Convulsions de Paris (1878-1880), La Charité privée à Paris (1885), Paris bienfaisant (1888). Ainsi, le compagnon de Gustave Flaubert aura-t-il échappé à la littérature pour se faire le chroniqueur d'une société gouvernée et gérée par la bourgeoisie.