Bienheureuse

"bienheureuse" dans l'encyclopédie

• DHARMĀKARA, bodhisattva

  • Écrit par Jean-Christian COPPIETERS
  • 696 mots

  Il se présente alors de nouveau devant Lokeshvararāja et lui expose, dans ses quarante-huit vœux (pranidhāna), ce que sera son paradis, qui portera le nom de Sukhāvatī (la Bienheureuse).

• ZHI QIAN [TCHE K'IEN] (III^e s.)

  • Écrit par Jean-Christian COPPIETERS
  • 1 003 mots

  Outre de nombreux petits textes dont beaucoup sont extraits des Āgama, on lui doit surtout une version de l'Aśtasāhasrikāprajnāpāramitā (Prajnāpāramitā en huit mille vers) et une première traduction du Vimalakīrtinirdeśasūtra (Sutra de l'enseignement de Vim à la Kīrti) et du Sukhāvatīvyuha (Ornementation de la contrée bienheureuse), ouvrage qui décrit le paradis d'Amitābha.

• BACICCIA GIOVANNI BATTISTA GAULLI dit (1639-1709)

  • Écrit par Marie-Geneviève de LA COSTE-MESSELIÈRE
  • 1 086 mots

  Sa compréhension de l'art de Bernin apparaît bien à la chapelle Altieri de San Francesco a Ripa, par la manière dont sa grande toile La Vierge à l'Enfant avec sainte Anne s'accorde au cadre architectural et à la tumultueuse sculpture de Bernin (Extase de la bienheureuse Louise Albertoni, 1674) qu'elle domine.

• BERNIN À ROME (repères chronologiques)

  • Écrit par Barthélémy JOBERT
  • 1 087 mots

  1674 Chapelle Altieri dans l'église San Francesco a Ripa : Extase de la bienheureuse Ludovica Albertoni, sculpture en marbre.

• PIERRE AURIOL (1280-1322)

  • Écrit par Francis RUELLO
  • 3 695 mots

  Son Traité de la conception de la bienheureuse Vierge Marie (Tractatus de conceptione Beatae Mariae Virginis) fait apparaître, en outre, les principes qui guident son ecclésiologie. Dans son Traité des principes (De principiis, 1312), Pierre étudie : la matière et la forme en général ; le sens selon lequel les anges et les astres ont matière et forme ; la matière et la forme dans les éléments et les corps mixtes ; la matière et la forme, leur existence, leur rapport, dans les êtres animés, et spécialement dans les hommes (de ce sujet traite aussi son Commentaire du second livre des Sentences qui date de 1317-1318).