Bihebdomadaire
- Adjectif singulier invariant en genre
Définition
- ayant lieu ou paraissant deux fois par semaine
"bihebdomadaire" dans l'encyclopédie
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GLOBE LE
- Écrit par Pierre ALBERT
- 2 252 mots
Mais le journal se fixait de plus hautes ambitions ; il devint politique et bihebdomadaire le 22 août 1828, tout en se doublant d'un satellite bimestriel, La Revue française (1828-1830), puis quotidien le 23 janvier 1830. Le Globe tint sa place au premier rang, dans la lutte contre le ministre Polignac, tout en se démarquant nettement des libéraux anticléricaux du Constitutionnel et des républicains nostalgiques de 1789.
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GAZETTE LA, puis GAZETTE DE FRANCE
- Écrit par Pierre ALBERT
- 3 137 mots
À cette date, Choiseul l'annexa au ministère des Affaires étrangères : elle prit le titre de Gazette de France et devint bihebdomadaire ; elle conserva jusqu'en 1789 son caractère officiel et le monopole de l'information politique. La Gazette de France, devenue un temps Gazette nationale de France, traversa sans éclat la Révolution et l'Empire. Après 1815, elle commença une longue carrière de quotidien monarchiste, légitimiste après 1830.
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SIMONIN ALBERT (1905-1980)
- Écrit par Michel LEBRUN
- 2 888 mots
Marcel Sauvage procure alors aux deux complices une chronique bihebdomadaire dans L'Intransigeant, « Le billet de l'homme de la rue » où l'argot est utilisé à jet continu. D'autres collaborations suivent, à Détective et à Voilà. Nous sommes en 1939. La guerre interrompt la double activité de Simonin, qui se retrouve typographe-metteur en pages et marié.
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RABIER BENJAMIN (1864-1939)
- Écrit par Dominique PETITFAUX
- 3 323 mots
- 1 média
Son talent pour dessiner les animaux dans des situations amusantes se confirme en 1907-1908 dans Histoire comique et naturelle des animaux, une publication bihebdomadaire de trente et un numéros qu’il réalise entièrement. En 1917, le ministère de la Guerre fait appel à lui pour que figure sur les camions de ravitaillement une vache hilare, baptisée « la Wachkyrie » pour se moquer des Walkyries, les divinités de la mythologie germanique qu’avaient fait connaître en France les opéras de Richard Wagner.