Bijective
- Adjectif féminin singulier
Définition
- en mathématiques, qualifie une liaison à la fois injective et surjective
"bijective" dans l'encyclopédie
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PROJECTIVES APPLICATIONS
- Écrit par Jacques MEYER
- 1 988 mots
De plus, cette application est bijective.
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AFFINE APPLICATION
- Écrit par Jacques MEYER
- 1 430 mots
Une application affine u de A dans A est bijective si et seulement si son application linéaire associée f est aussi bijective. Ainsi l'application qui à u fait correspondre f est un morphisme du groupe affine GA(A) dans le groupe linéaire GL(E). 4. Soit A et B deux espaces affines de dimensions finies (dim A = q). Pour définir une application affine de A dans B, il suffit de se donner (q + 1) points affinement indépendants dans A et leurs images dans B.
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PALINDROME, genre littéraire
- Écrit par Véronique KLAUBER
- 1 461 mots
) Ceux-ci, ordonnés selon la contrainte de la lisibilité bijective, forment un sens qui porte, par un (double) effet de miroir, sur l'écriture elle-même. Comme d'autres jeux littéraires consistant à changer l'ordre des éléments du signifiant pour créer un nouveau signifié (tels l'anagramme, les vers anacycliques ou les strophes rétrogrades), le palindrome est pratiqué depuis l'Antiquité.
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GROUPES (mathématiques) Représentation linéaire des groupes
- Écrit par Everett DADE
- 19 986 mots
Toute autre telle décomposition :est équivalente à la première, en ce sens qu'il existe une application bijective f de E sur F et, pour tout W de E, une application linéaire bijective g de W sur U = f (W) qui conserve les opérations de G et les produits hermitiens sur les deux sous-espaces W et U. Donc V est déterminé à un isomorphisme près par les multiplicités des G-espaces de Hilbert irréductibles W dans V, c'est-à-dire le nombre de sous-espaces U appartenant à F, tels que U soit G-isomorphe à W.
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CANTOR GEORG (1845-1918)
- Écrit par Hourya BENIS-SINACEUR
- 15 870 mots
- 1 média
Le critère est l’existence d’une correspondance bijective : si l’on peut trouver une bijection entre deux ensembles, ceux-ci ont le même degré dans l’échelle des infinis. Ainsi l’ensemble des entiers et l’ensemble de leurs carrés peuvent être mis en bijection, de même l’ensemble des points de deux segments ou deux arcs de courbe de longueurs inégales.