Billot
- Nom masculin singulier
Définition
- tronc de bois servant de plan de travail
- entrave fixée au cou d'un animal pour l'empêcher de s'échapper
"billot" dans l'encyclopédie
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BILLOTTE PIERRE (1906-1992)
- Écrit par Charles-Louis FOULON
- 4 763 mots
- 3 médias
Né à Paris le 8 mars 1906, Pierre Billotte, saint-cyrien à vingt ans, suit un parcours militaire classique. Lieutenant en 1930, élève de l'École supérieure de guerre de 1934 à 1936, le commandant Billotte est blessé pendant la campagne de France et fait prisonnier. Évadé d'Allemagne par l'U.R.S.S., avec cent quatre-vingt-cinq autres Français, il connaît les geôles soviétiques avant de devenir le représentant militaire de la France libre à Moscou, après le déclenchement des combats entre l'Armée rouge et la Wehrmacht.
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TURGOT ANNE ROBERT JACQUES, baron de l'Aulne (1727-1781)
- Écrit par Louis TRENARD
- 3 615 mots
Le roi est blessé par la mise en garde de Turgot : « N'oubliez pas, sire, que c'est la faiblesse qui a mis la tête de Charles Ier sur un billot. » Il lui intime l'ordre de quitter Versailles, sans reparaître à la Cour. Turgot meurt cinq ans plus tard.
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SOVIÉTIQUES LITTÉRATURES DES NATIONALITÉS
- Écrit par Jean CATHALA
- 4 803 mots
De même, la parution du Billot (1986), roman qui trahit une inspiration religieuse, montre que T. Aïtmatov a trouvé lui aussi un nouveau souffle sous la perestroïka.
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GAUVAIN
- Écrit par Jean-Pierre BORDIER
- 5 210 mots
Il joue son rôle majeur dans la littérature anglaise, et le roman intitulé Gauvain et le chevalier Vert (Sir Gawain and the Green Knight, 1360-1400) articule tout le répertoire arthurien autour de deux thèmes essentiels : l'épreuve du billot (le héros doit trancher la tête d'un homme et, à un jour fixé, se soumettre à son tour à la même épreuve) et la triple tentation imposée par la femme du chevalier Vert.
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J'ACCUSE (R. Polanski)
- Écrit par Pierre EISENREICH
- 5 135 mots
Le monstrueux se manifeste également par le choix des « gueules » des acteurs et de leur voix, si diverses et précises par leur diction : Louis Garrel parfait de raideur et méconnaissable en Alfred Dreyfus ; Hervé Pierre et Vincent Grass, aussi fuyants que redoutables dans le rôle des généraux Gonse et Billot ; Didier Sandre et Wladimir Yordanoff jouant chacun les hypocrites généraux Boisdeffre et Mercier ; enfin Grégory Gadebois interprétant avec superbe le rôle du commandant Henry.