Biodégradable
- Adjectif singulier invariant en genre
Définition
- pouvant se dégrader dans le temps
"biodégradable" dans l'encyclopédie
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HYDROQUINONE
- Écrit par Dina SURDIN
- 942 mots
Peu biodégradable et toxique pour les poissons, elle est dangereuse pour les écosystèmes, en particulier pour les eaux.
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EAU Approvisionnement et traitement
- Écrit par Georges BREBION, Cyrille GOMELLA et Bernard LEGUBE
- 55 311 mots
- 5 médias
Elle nécessite une source de carbone organique biodégradable. Comme l'azote, le phosphore n'est que partiellement éliminé par les procédés biologiques conventionnels (rendements < 20 p. 100). L'élimination plus poussée du phosphore peut être assurée soit par voie physico-chimique (précipitation par un sel de fer), soit par voie biologique spécifique.
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EXTRÉMOPHILES
- Écrit par Jacques DIETRICH et Jean GUEZENNEC
- 15 701 mots
Outre le caractère biodégradable de ces biopolymères, il faut souligner que leur synthèse est réalisée à partir de ressources renouvelables et/ou de co-produits de l'industrie. Enfin, un axe majeur se dessine autour de ces micro-organismes : leur capacité à synthétiser des molécules bioactives (nouveaux médicaments de la mer) dont les applications sont naturellement orientées vers le domaine pharmaceutique.
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DÉTERGENTS
- Écrit par Louis HO TAN TAÏ et Véronique NARDELLO-RATAJ
- 19 326 mots
- 1 média
Au début des années 1960, sous la pression écologique, l'ABS, peu biodégradable, fut remplacé par l'alkylbenzène sulfonate linéaire ou LAS. Parallèlement, des agents complexants efficaces furent introduits : les triphosphates ou tripolyphospates (TPP) puis, en raison de contraintes environnementales édictées dans certains pays, les zéolites. Les formulations actuelles, plus sophistiquées et plus performantes, contiennent des agents antiredéposition, des azurants optiques, des agents de contrôle de la mousse, des enzymes, des polymères, des activateurs de blanchiment.
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PLASTIQUES
- Écrit par Pierre LASZLO
- 22 601 mots
100 biodégradable. Les frères Camille et Henri Dreyfus, Helvètes, mirent au point en 1905 un procédé de fabrication de l'acétate de cellulose, pour les besoins en film de l'industrie cinématographique. Dès 1913, ils avaient obtenu en laboratoire des filaments continus d'acétate. Cette nouvelle fibre, une soie artificielle, commença d'être commercialisée en 1924 sous le nom de rayonne.