Blagueur
- Nom masculin singulier
- Adjectif masculin singulier
Définition
Employé comme adjectif
- qui aime plaisanter, blaguer
Employé comme nom
- plaisantin, personne qui blague, qui raille
"blagueur" dans l'encyclopédie
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ROONEY MICKEY (1920-2014)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 590 mots
Il obtint la célébrité grâce au rôle d’Andy Hardy, l’adolescent blagueur des quinze films de la série éponyme (1937-1946), et fut beaucoup plus tard la star de la revue musicale Sugar Babies, hommage au burlesque qui tint l’affiche à Broadway de 1979 à 1982. Mickey Rooney, de son vrai nom Joseph Yule, Jr., naît le 23 septembre 1920 à Brooklyn. À l’âge de dix-sept mois, il apparaît dans le spectacle de vaudeville que montent ses parents.
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ZILLE HEINRICH (1858-1929)
- Écrit par Jean-François POIRIER
- 5 921 mots
Zille a traité le thème de la misère avec beaucoup de pudeur, sans pouvoir néanmoins toujours résister aux facilités de l'esprit blagueur qu'attendaient de lui ses amateurs. Mais sa compassion ne fait pas de doute et on ne la sent jamais aussi bien que dans ses œuvres teintées d’humour noir, comme dans ce dessin où deux petits garçons expliquent, en montrant du doigt un rat mort, qu’il fait très humide chez eux, ou cet autre où une petite fille se vante de pouvoir dessiner, en toussant, sur la neige.
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COLE NAT KING (1917-1965)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 5 254 mots
Ses talents ne se limitaient pourtant pas au chant et au piano : détendu et blagueur sur scène, il se révélera être un acteur admirable, comme en témoignent ses prestations dans les films Istanbul, de Joseph Pevney (1957), China Gate, de Samuel Fuller (1957, Porte de Chine), Night of the Quarter Moon, de Hugo Haas (1959), et Cat Ballou, de Elliot Silverstein (1965).
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JACOB MAX (1876-1944)
- Écrit par Yvon BELAVAL
- 7 537 mots
- 2 médias
Du dedans L'œuvre de Max Jacob est une œuvre d'un bout à l'autre poétique où l'on passe de prosodie régulière à presque régulière, à libre, au poème en prose, au roman mêlé de vers (La Défense de Tartufe, 1919), au roman ; où le style colloquial – du blagueur, de l'épistolier, du méditatif, du mondain – anime, en se diversifiant, tous les ouvrages ; où l'anecdote-éclair de certains poèmes en prose se développe ailleurs en aventures romanesques ; où le menu peuple du poète reparaît, parfois au milieu des mêmes décors (Quimper ou la rue Gabrielle), dans les péripéties du Terrain Bouchaballe (1922), de Filibuth ou la Montre en or (1922), de L'Homme de chair et l'homme reflet (1924), dans la galerie de caractères du Cinématoma (1920), du Tableau de la bourgeoisie (1930), dans les lettres imaginaires du Cabinet noir (1922), semi-inventées des Conseils à un jeune poète (1945), ou réellement envoyées, etc.
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MONTAND YVES (1921-1991)
- Écrit par Michel P. SCHMITT
- 7 973 mots
Dans le même temps, Philippe de Broca (Le Diable par la queue, 1969), Gérard Oury (La Folie des grandeurs, 1971), d'autres encore lui fournissent l'occasion de donner libre cours à sa verve de blagueur, toujours présente d'ailleurs dans ses prestations sur scène (ce dont témoignera plus tard le beau film de Chris Marker, La Solitude du chanteur de fond, 1974).