Bloqué
- Adjectif masculin singulier
- Verbe au participe passé masculin singulier
Définition
- en psychologie, qui ne parvient pas à extérioriser ses sentiments, à communiquer
Forme dérivée du verbe « bloquer »
"bloqué" dans l'encyclopédie
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BADENI KASIMIR comte (1846-1909)
- Écrit par Jean BÉRENGER
- 1 819 mots
Le système parlementaire est bloqué et le 28 novembre 1897 Badeni démissionne, tandis que François-Joseph ferme le Parlement. Ainsi l'expérience Badeni avait montré jusqu'à quel point le système politique autrichien était bloqué.
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MOUSSE, physique
- Écrit par Bernard PIRE
- 4 315 mots
- 1 média
Le son est ainsi bloqué dans les bulles de savon dans cette large gamme de fréquences. Outre son intérêt purement scientifique pour la compréhension de l’acoustique des bulles de savon et plus généralement sur la dynamique des matériaux de ce type, le dispositif conçu et utilisé par les chercheurs pourrait se révéler riche d’applications techniques.
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BLOCUS
- Écrit par Jean-Pierre COT
- 18 850 mots
- 3 médias
Dès le xixe siècle, les jurisprudences britannique et japonaise admettaient la capture d'un navire qui se dirige vers un port bloqué, alors que ses papiers de bord indiquent une autre destination. Bien plus, la théorie du voyage continu autorisait la capture d'un navire se dirigeant vers un port neutre, mais poursuivant son voyage jusqu'à un port bloqué.
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DÉFAUTS DE FERMETURE DU TUBE NEURAL
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 3 741 mots
Les malformations sont secondaires à l'absence de fermeture correcte du tube, soit parce qu'il est incomplet, soit parce qu'il est bloqué. Le défaut de fermeture peut être responsable de spina bifida, de méningocoele, de myélocoele ou de myéloméningocoele. Le spina bifida résulte d'une anomalie de la partie postérieure de la vertèbre ; celle-ci ne recouvre pas la partie postérieure de la moelle épinière, qui n'est donc pas protégée.
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PUEBLA BATAILLE DE (5 mai 1862)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 382 mots
L'itinéraire emprunté par les Français qui se dirigeaient vers la capitale était bloqué par la ville fortifiée de Puebla. L'imprudent général français, Charles Latrille Laurencez, ordonna une attaque frontale des positions mexicaines, situées sur les collines escarpées de Cerro de Guadalupe et défendues par un cours d'eau et un mur en brique. Les Mexicains, sous le commandement du général Ignacio Zaragoza, repoussèrent les assaillants, qui perdirent 1 000 hommes environ et firent retraite jusqu'à la côte.