Mot ayant une orthographe voisine : Boat-people
- Nom masculin invariant en nombre
Définition
- (mot anglais) exilé quittant son pays par la mer, sur une embarcation quelconque
"boat" dans l'encyclopédie
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SIDNEY GEORGE (1911-2002)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 439 mots
Entré très jeune à la MGM, il se spécialise dans la comédie musicale, avec notamment Gene Kelly et Frank Sinatra (Escale à Hollywood, 1945 ; Show Boat, 1951) et, dans une dimension plus spectaculaire, Le Bal des sirènes (1944). Son goût pour la chorégraphie donne un rythme très personnel à ses films de cape et d'épée, comme Les Trois Mousquetaires (1948), avec Gene Kelly, et Scaramouche (1952), avec Stewart Granger.
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SILLITOE ALAN (1928-2010)
- Écrit par Jean RUET
- 3 659 mots
Lorsqu'il s'en éloigne pour faire une incursion soit dans l'anti-utopie (Travels in Nihilon, 1971), soit dans le récit d'aventures (The Lost Flying Boat), les résultats sont souvent moins heureux. Nul doute que la matière première dont l'auteur tire le meilleur profit demeure son expérience personnelle, celle de sa famille, de son milieu d'origine.
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CRANE STEPHEN (1871-1900)
- Écrit par Jean CAZEMAJOU
- 5 933 mots
Ce fut d'abord la tentative manquée d'un reportage à Cuba, en janvier 1897, qui se solda par un naufrage ; cette aventure, au cours de laquelle il partagea dans une chaloupe trente heures d'anxiété et de lutte avec trois autres rescapés, lui inspira The Open Boat (Le Canot, 1897). Ensuite, la guerre gréco-turque de 1897 et le conflit hispano-américain de 1898 vinrent l'arracher à son cabinet de travail.
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ANDERSON POUL (1926-2001)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 950 mots
A Midsummer Tempest (1974 ; Tempête d'une nuit d'été), The Boat of a Million Years (1989) et Genesis (2000), qui remporte le prix John W. Campbell en 2001, font partie de ses œuvres importantes. Si la formation scientifique d'Anderson et son souci de l'exactitude contribuent à la crédibilité de ses œuvres de science-fiction, son intérêt pour la littérature et les langues scandinaves constitue une grande source d'inspiration de ses romans fantasy.
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Nobody else but me, GETZ (Stan)
- Écrit par Eugène LLEDO
- 1 766 mots
Il enregistre ce thème de Jerome Kern (tiré de la comédie musicale Show Boat) pour le label Verve en 1954, pendant une période troublée par l'usage de stupéfiant, et qui lui vaudra quelques démêlées avec la justice. Pourtant, en écoutant cette plage typique du son West Coast, on comprend pourquoi Stan Getz a été surnommé «The Sound»: entraînée par la cymbale ride de Max Roach, qui interprète un cha-bada ternaire au fond du temps, le soliste peut développer son discours mélodique et ses rebonds ternaires en digne héritier de Lester Young.