Bric
Définition
- dans l'expression "de bric et de broc", avec un assemblage hétéroclite
"bric" dans l'encyclopédie
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PREMIER SOMMET DES B.R.I.C.
- Écrit par Arnaud BALVAY
- 1 634 mots
Les B.R.I.C deviennent les B.R.I.C.S. (le « S » pour South Africa).
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BRICS
- Écrit par Olivier MARTY
- 12 928 mots
- 1 média
À cette époque, les BRIC parviennent individuellement à exprimer des positions sur les enjeux internationaux, tels que les négociations commerciales du cycle de Doha (qu’ils ne favorisent pas), la prolifération nucléaire en Iran (dont la Chine, la Russie et le Brésil se mêlent tour à tour, de façon plus ou moins constructive) ou bien les conventions climat de Bonn (1999) ou de Copenhague (2009), où tous rechignèrent à prendre beaucoup d’engagements.
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GUYART BRICE (1981- )
- Écrit par Pierre LAGRUE
- 1 839 mots
Escrimeur français né le 15 mars 1981 à Suresnes (Hauts-de-Seine), spécialiste du fleuret. Brice Guyart commence à pratiquer l'escrime dès l'âge de cinq ans, au Vésinet, où le maître d'armes Gérard Rousseau assure sa formation. En 2000, il est champion du monde junior. Malgré son jeune âge, il se voit retenu dans l'équipe de France pour les jeux Olympiques de Sydney.
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MARDEN BRICE (1938-2023)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 136 mots
Peintre américain, Brice Marden est né le 15 octobre 1938 à Bronxville (État de New York). Étudiant en art, il obtient sa licence à l'université de Boston en 1961 et sa maîtrise à Yale en 1963, année où il s'installe à New York. Au milieu des années 1960, il va développer un sens raffiné et délicat de la couleur. Ses œuvres, sobres et déconcertantes, sont monochromes ou constituées de plusieurs panneaux rectangulaires de taille identique, combinés horizontalement ou verticalement et formant une riche juxtaposition de couleurs.
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PARAIN BRICE (1897-1971)
- Écrit par Gilles QUINSAT
- 3 413 mots
À l'origine de l'œuvre de Brice Parain se trouve moins une intuition qu'une déception. Très tôt, Parain découvre la profonde duplicité du langage : il est notre fatalité puisqu'il nous permet de communiquer. Mais il ne nous unit qu'en nous trahissant : il nous donne l'illusion que c'est nous qui parlons, alors que nous ne livrons au monde que notre part la plus impersonnelle, la seule susceptible d'être dite.