Céphalé
- Adjectif masculin singulier
Définition
- en zoologie, ayant une tête distincte
"céphalé" dans l'encyclopédie
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CÉPHALÉE
- Écrit par François BOURNÉRIAS
- 1 034 mots
Terme désignant toute douleur située au niveau de la tête, mais habituellement réservé aux seules douleurs ressenties dans la boîte crânienne. La plupart des céphalées, certainement plus de 90 p. 100, n'ont pas de cause organique et sont imputables à une attention soutenue ou à une perturbation psychique transitoire (anxiété). Le problème que le diagnostic des céphalées pose au médecin est de distinguer la céphalée banale, que tout le monde a eue ou aura, de la céphalée symptomatique, qui peut révéler une affection sérieuse, qu'elle soit psychique, comme un état dépressif sévère, ou organique.
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MAÎTRE DE FLORE (actif 2e moitié XVIe s.)
- Écrit par Sylvie BÉGUIN
- 827 mots
Nom donné à l'auteur inconnu d'une Flore (autrefois dans la collection d'Albenas, Montpellier) dont on rapproche un certain nombre de peintures, en particulier Le Triomphe de Flore (collection privée), La Naissance de l'amour (Metropolitan Museum, New York) et quelques dessins, Céphale et Procris (coll. G. Seligman, New York), œuvres marquées par le maniérisme bellifontain du milieu du xvie siècle sous l'influence de Rosso, de Primatice et de Nicoló dell'Abate.
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GRÉTRY ANDRÉ MODESTE (1741-1813)
- Écrit par Suzanne LEJEUNE-CLERCX
- 9 178 mots
Grâce à son humour, il a dominé la mièvrerie et la sensibilité du xviiie siècle finissant et son renom a subsisté par quelques œuvres majeures comme Zémire et Azor, Richard Cœur de Lion et Guillaume Tell, et le ballet de Céphale et Procris. L'homme et l'esprit Né à Liège, capitale d'une principauté d'Empire, André Modeste Grétry, comme autrefois Henri Du Mont, choisit de vivre dans le pays dont il parlait la langue : la France.
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ŒDIPE, mythologie
- Écrit par Marcel DETIENNE
- 2 430 mots
- 1 média
Mais, dans le mythe de Procris et de Céphale, le renard est éliminé par un chien que nul ne peut semer : incapable de distancer son poursuivant, lui-même impuissant à combler cette distance, tous deux sont figés dans la pierre.
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AURORE, mythologie
- Écrit par Robert DAVREU
- 2 501 mots
Les noms de quelques-uns des nombreux mortels aimés d'Aurore et qu'Aurore ravit sont restés : le géant Orion, fils de Poséidon, auquel Hélios redonna la vue et qu'elle enleva et emmena à Délos, où il périt victime d'Artémis (L'Odyssée, V, 121-124) ; Céphale, qu'elle enleva en Syrie et duquel elle enfanta Phaéton (plus généralement tenu pour le fils d'Hélios) ; Klitos, le petit-fils de Mélampous (ibid.