Céréale
- Nom féminin singulier
Définition
- en botanique, plante graminée dont les grains sont utilisés pour la nourriture humaine ou animale
- (au pluriel) aliment constitué de flocons de céréale s
"céréale" dans l'encyclopédie
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CÉRÉALES
- Écrit par Jean-Paul CHARVET
- 34 398 mots
- 14 médias
Utilisé en outre de façon tout à fait marginale en alimentation animale ou par les industries agroalimentaires, le riz demeure essentiellement une céréale vivrière locale et encore assez peu une céréale globale (c’est-à-dire à la consommation largement mondialisée), même si ses échanges sur le marché international se sont rapidement développés depuis les années 2000.
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SEIGLE
- Écrit par Jean-Paul CHARVET
- 4 766 mots
- 1 média
Une céréale plus rustique que le blé Le seigle appartient à la famille des Poacées (anciennement Graminées). C’est une céréale de grande taille (jusqu'à 2 mètres de hauteur), dont les épis sont allongés et barbus. Comme pour le blé, la culture du seigle est panifiable, mais ses rendements par hectare sont aujourd’hui, dans l’Union européenne, deux fois inférieurs à ceux du blé.
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MAÏS
- Écrit par Jean-Paul CHARVET
- 16 214 mots
- 5 médias
Mais c’est aussi la céréale qui présente aujourd’hui les rendements les plus élevés : en plantant un grain de maïs, on peut obtenir entre 500 et 1 000 grains et des grains bien plus gros que ceux des autres céréales. Dès que cela leur devient possible, bien des paysans africains abandonnent la culture du sorgho – céréale à petits grains – pour celle du maïs.
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CULTURE DÉROBÉE
- Écrit par Roger BÉTEILLE
- 643 mots
Une culture dérobée se place entre deux cultures principales au cours de l'année : entre une céréale et une plante sarclée par exemple. On sème la culture dérobée après la moisson de la céréale ; on la récoltera avant la mise en terre du tubercule ou avant les semis du printemps suivant. Dans les régions méridionales, la culture dérobée apparaît même entre la moisson et les emblavures d'automne.
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ORGE
- Écrit par Jean-Paul CHARVET
- 5 225 mots
- 4 médias
Les températures exigées par cette céréale pour accomplir l'ensemble de son cycle végétatif sont légèrement inférieures à celles du blé. Il s'agit, par ailleurs, et c’est une donnée essentielle, d'une plante de jours longs. Ces deux raisons permettent d'expliquer les bons rendements obtenus aux latitudes élevées comme, par exemple, au Canada ou en Scandinavie.