Cab

"cab" dans l'encyclopédie

• CALLOWAY CABELL dit CAB (1907-1994)

  • Écrit par Pierre BRETON
  • 3 597 mots
  • 2 médias

  Cab Calloway y pulvérise la mélodie et, derrière la jovialité du délire, fait exploser les limites du middle jazz. Charlie Parker et Dizzy Gillespie sauront se souvenir de ses échappées vers leur nouveau monde.

• COLE COZY (1909-1981)

  • Écrit par Pierre BRETON
  • 3 408 mots

  On le retrouvera ensuite avec Teddy Wilson, Henry Allen, Bud Freeman, Chu Berry, Bunny Berigan, Stuff Smith, Lionel Hampton, Cab Calloway, Roy Eldridge, Coleman Hawkins, Don Byas, Dizzy Gillespie, Charlie Parker, sans oublier, bien entendu, Louis Armstrong.

• HAWKINS JALACY dit SCREAMIN' JAY (1929-2000)

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 865 mots

  Il débute comme boxeur professionnel, travaille le piano avec Nat « King » Cole, reçoit les conseils de Cab Calloway, tourne avec de grands orchestres de rhythm and blues, dont sa voix de baryton d'opéra parvient à couvrir les cuivres puissants, et où il acquiert son surnom (to scream signifie « hurler »). Il est engagé par Fats Domino en 1954, puis présente ses propres spectacles, dont l'exubérance de la mise en scène le dispute au mauvais goût.

• Sit down, THARPE (Sister Rosetta)

  • Écrit par Eugène LLEDO
  • 1 125 mots

  Cette star du gospel se produira notamment, comme chanteuse et guitariste, à l'Apollo Theatre de Harlem, au Cotton Club de Harlem dans les revues de Cab Calloway ainsi que sur la scène du prestigieux Carnegie Hall de New York à l'occasion du concert historique From Spirituals to Swing: An Evening of American Negro Music du 23 décembre 1938. À partir de 1947, elle se consacre exclusivement à la musique religieuse.

• LATIN JAZZ

  • Écrit par Eugène LLEDO
  • 2 139 mots

  Pour rivaliser avec les big bands et jouer des arrangements foisonnants, inspirés de Cab Calloway, Machito met sur pied de grandes formations à partir de 1940. Il enregistre Tanga, qui impressionne Dizzy Gillespie. Celui-ci, associé au virtuose des congas* et compositeur Chano Pozo va s'inspirer des descargas (improvisations collectives) de La Havane pour employer la clave* cubaine et les percussions afro-antillaises (congas, bongos, maracas et timbales) sur des harmonies empruntées au jazz.