Caban
- Nom masculin singulier
Définition
- manteau en drap imperméable, commun dans la marine
"caban" dans l'encyclopédie
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NOTES SUR LA NATURE, LA CABANE ET QUELQUES AUTRES CHOSES (G. A.Tiberghien) Fiche de lecture
- Écrit par Jean-Marc BESSE
- 5 568 mots
L'intérêt que Gilles A. Tiberghien porte aux cabanes n'est pas nouveau. Dans un ouvrage précédent, Nature, art, paysage (Actes Sud-École nationale supérieure du paysage-Centre du paysage, Arles-Versailles, 2001), il avait déjà, en philosophe et historien de l'art, rendu ses lecteurs sensibles à cet archétype qui est aussi un motif de la création artistique contemporaine.
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SAINT LAURENT MATHIEU SAINT-LAURENT dit YVES (1936-2008)
- Écrit par Guillaume GARNIER et Encyclopædia Universalis
- 7 667 mots
Jouant en virtuose des codes vestimentaires masculins, Yves Saint Laurent va ainsi participer à l'émancipation des femmes, en leur proposant des versions adaptées du tailleur-pantalon, du smoking, du caban, de la saharienne. Le créateur a également réussi à s'appuyer sur les passions artistiques qui l'animent et les cultures du monde qui l'inspirent pour réaliser des robes et des tenues innovantes et en accord avec son époque.
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LIBREVILLE
- Écrit par Roland POURTIER
- 4 450 mots
- 1 média
Ce remarquable site d'abri a été fréquenté par les Européens depuis sa découverte, à la fin du xve siècle (1472), par des navigateurs portugais qui lui donnèrent, on ne sait pourquoi, le nom de Gabão (en français « caban »), qui devint Gabon. Les rives du Komo étaient habitées par les Mpongwé, un sous-groupe myéné : les premiers traités qui présidèrent à l'installation de la France, lorsqu'elle décida d'établir une base navale dans le golfe de Guinée pour participer à la lutte contre la traite clandestine des esclaves, ont été passés avec des chefs de village, ou « rois », mpongwé.
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MODE Histoire et composantes
- Écrit par Catherine ORMEN et Encyclopædia Universalis
- 68 709 mots
- 9 médias
Les « basiques » triomphent, concurrencés toutefois par les « authentiques » : jeans 501, caban, treillis, etc. Les marques, sigles et logos s'effacent, tandis que d'autres apparaissent directement sur le corps : tatouages, piercings, brandings (marquage de la peau au fer rouge), scarifications, et autres modifications corporelles (implants), encore associés à la dissidence dans les années 1970 et 1980, constituent à présent de nouvelles formes de séduction et s'érigent en phénomène culturel.