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Calme

  • Nom masculin singulier
  • Adjectif masculin singulier
  • Verbe à l'indicatif présent 1e personne du singulier

Définition

Employé comme adjectif

  1. paisible, serein

Employé comme nom

  1. tranquillité, absence de bruit, d'agitation, cessation du vent
  2. pondération, sang-froid

Forme dérivée du verbe « calmer »

"calme" dans l'encyclopédie

  • CAMOMILLE

    • Écrit par Pierre LIEUTAGHI
    • 3 676 mots
    • 1 média

    100, instillée tiède au coin des paupières, est un collyre très populaire qui calme bien les conjonctivites. La décoction plus concentrée (15 g) servait autrefois au lavage et au traitement des plaies et des ulcères. Cette décoction, antiseptique, adoucissante et cicatrisante, calme les gerçures et les engelures ; elle s'emploie aussi en bains de bouche (aphtes, gingivites), en lotions pour éclaircir et tonifier les cheveux blonds ou châtains (la plante entre dans certains shampooings du commerce).

  • DELILLE JACQUES (1738-1813)

    • Écrit par Denise BRAHIMI
    • 5 363 mots

    Loin d'être abolitionniste, le poète s'étend surtout sur les malheurs des colons, et termine par un appel au calme : Ah ! que les deux partis écoutent la Pitié ; / Qu'entre les deux couleurs renaisse l'amitié ! Il se déclare d'ailleurs en toutes circonstances ennemi de la violence. D'où sa réputation d'esprit facile et doux, d'homme modeste et indulgent.

  • IPHIGÉNIE, mythologie

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 856 mots
    • 3 médias

    Lors de la guerre de Troie, son père dut la sacrifier à Artémis pour obtenir de la déesse qu'elle fît cesser le calme (ou les vents contraires) qui retenait en Aulide la flotte des Achéens. Dans certains endroits, on l'identifiait à Artémis, et quelques auteurs anciens prétendaient qu'Iphigénie était à l'origine la déesse Hécate. Iphigénie fut le personnage clef de plusieurs tragédies grecques : notamment, Agamemnon d'Eschyle, Électre de Sophocle, Iphigénie à Aulis, pièce inachevée d'Euripide, et Iphigénie en Tauride, pièce antérieure du même auteur.

  • IRADJ MIRZĀ (1874/75-1926)

    • Écrit par Philippe OUANNÈS
    • 883 mots

    Il accepte quelque temps de remplir les fonctions de poète officiel, mais sa nature calme et simple, qui affectionne surtout le ton familier, le fait bientôt renoncer aux mondanités : un poste de fonctionnaire le laisse à l'écart des tourbillons et des intrigues compliquées de la cour. Gagné, par sa formation et plus tard par ses goûts, aux idées occidentales, il introduit par ses vers des thèmes nouveaux dans la poésie iranienne : justice sociale, condition de la femme.

  • DAVID GÉRARD (entre 1450 et 1460-1523)

    • Écrit par Jacques FOUCART
    • 5 918 mots

    Reçu franc maître dans la gilde des peintres de Bruges dès 1484, il reste, à l'égal d'un Memling, étroitement lié au renom et à l'histoire de cette ville, au point que sa peinture, sédative et si gravement mûrie, nous paraît typique d'un certain goût brugeois pour la tradition calme et recueillie face aux audaces plus modernistes d'Anvers ou de Bruxelles.

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