Camarine
- Nom féminin singulier
Définition
- en botanique, arbuste des régions froides proche de la bruyère
"camarine" dans l'encyclopédie
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AGRIGENTE
- Écrit par Michel GRAS
- 11 636 mots
- 8 médias
Il s'agissait, de la part de Géla, de « répondre » à la fondation de Camarine par Syracuse une vingtaine d'années auparavant : bloqués vers l'est, les habitants de Géla cherchent un débouché vers l'ouest, sans menacer toutefois le territoire de la lointaine Sélinonte. Selon Pindare (IIe Olympique, v. 11-12), Agrigente est l'« œil de la Sicile » : elle occupe une position stratégique, au centre de l'île et face à Carthage ; de fait, son histoire s'est souvent confondue avec celle de l'hellénisme occidental.
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SICILE
- Écrit par Maurice AYMARD, Michel GRAS, Claude LEPELLEY, Jean-Marie MARTIN et Pierre-Yves PÉCHOUX
- 98 600 mots
- 10 médias
La Sicile est insulaire, donc particulière : son histoire fut originale et, jusqu'au haut Moyen Âge, ne se confondit pas avec celle de l'Italie voisine. Au centre de la Méditerranée, entre le bassin occidental et le bassin oriental, elle subit des influences multiples : les Phéniciens et les Grecs, les Romains, puis les Byzantins, les Arabes et les Normands s'y fixèrent tour à tour et la marquèrent de leur influence, y laissant de splendides œuvres d'art.
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CANADA Cadre naturel
- Écrit par Pierre DANSEREAU et Henri ROUGIER
- 31 479 mots
- 10 médias
Au-delà du timberline, on rencontre des espèces naines ou rampantes de bouleaux, de saules, d'Ericacées ; des tapis de camarine et des coussins de silène acaule, de Diapensia. Cette toundra, parfois assez dense, se réfugie souvent dans les interstices du felsenmeer, découpé par l'érosion en vastes dalles tapissées de lichens et bordées de mousses. Ailleurs, lorsque le drainage est déficient, c'est plutôt une pelouse rase de laîches, de rouches et de joncs qui prédomine.
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MÉSOLITHIQUE
- Écrit par Michel ORLIAC
- 38 182 mots
- 20 médias
Dans le gisement anglais de Star Carr, daté des environs de – 7600, il y a quatorze plantes potentiellement comestibles, dont le rhizome de nénuphar blanc, les feuilles d'épilobe, de renouée et d'aubépine, les baies d'aubépine et de camarine ; les habitants des zones humides disposaient également du lys d'eau et de la châtaigne d'eau. À Montclus, la couche d'habitat castelnovienne (vers – 5400) contenait des pépins de raisin, des graines de vesce et des feuilles d'amélanchier (aux baies comestibles).