Canopée

"canopée" dans l'encyclopédie

• ÉQUATORIAL MILIEU

  • Écrit par François DURAND-DASTÈS, Yves GAUTIER et Emmanuelle GRUNDMANN
  • 35 072 mots
  • 6 médias

  Les lianes ligneuses possèdent un houppier au sommet de la canopée, souvent comparable en volume à celui des arbres voisins. Quant aux lianes grimpantes, elles ont besoin toute leur vie durant d'un tronc d'arbre pour s'agripper et grimper vers le sommet de la canopée. Elle possèdent, pour ce faire, des racines crampons avec lesquelles elles vont ainsi coloniser les troncs avoisinants jusqu'à parfois totalement les recouvrir, comme les philodendrons par exemple.

• PERROQUET

  • Écrit par Emmanuelle GOIX
  • 4 659 mots

  Les plumages sont des plus variés : à dominante verte pour passer inaperçu dans la canopée, notamment chez les amazones, aux couleurs mélangées les plus flamboyantes (bleu, rouge, jaune) chez les aras ou les loris. Les cacatoès sont généralement blancs, comme le cacatoès à huppe jaune (Cacatua galerita), ou noir, comme le cacatoès funèbre (Calyptorhynchus funereus).

• BOURSE DE COMMERCE PINAULT COLLECTION MUSÉE, Paris

  • Écrit par Marie CIVIL
  • 7 630 mots
  • 1 média

  Située dans le quartier des Halles, dans le prolongement de la Canopée et du jardin Nelson-Mandela, la Bourse de commerce - Pinault Collection, inaugurée en février 2020, dote le cœur de Paris d’un nouveau musée d’art contemporain dans la lignée de la fondation Louis Vuitton construite quinze ans auparavant par Frank Gehry dans le bois de Boulogne à Paris.

• TIKAL

  • Écrit par Éric TALADOIRE
  • 10 256 mots
  • 5 médias

  Tikal est d'abord le site maya le plus impressionnant avec ses enchevêtrements de constructions sur 8 000 mètres carrés, dont ses élégants temples qui émergent de la canopée ou ses acropoles, dont l'Acropole nord, un des édifices les plus complexes du monde maya. Occupée sans interruption depuis 350 avant J.-C. jusqu'après l'effondrement de la cité (889 après J.

• MAYARO FIÈVRE ET VIRUS

  • Écrit par Gabriel GACHELIN
  • 11 188 mots
  • 2 médias

  En 2017, le virus circule surtout entre des moustiques de la canopée, des primates non humains et des oiseaux. Ce cycle sylvatique explique la prévalence de l’infection chez les personnes travaillant en forêt ainsi que chez les touristes. L’homme n’est en fait qu’un hôte occasionnel, du moins pour l’instant. Le passage à un cycle urbain ? En 2017, la maladie a peu de conséquences mais, du fait de la rareté des cas, la véritable pathogénicité du virus reste mal définie et ne pourrait être connue que si une épidémie étendue intervenait.