Cantine
- Nom féminin singulier
- Verbe à l'indicatif présent 1e personne du singulier
Définition
- réfectoire d'une communauté, service gérant ce réfectoire
- petite malle
- familièrement, restaurant où on se rend régulièrement
Forme dérivée du verbe « cantiner »
"cantine" dans l'encyclopédie
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CARLOS YVAN-CHRYSOSTOME DOLTO dit (1943-2008)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 034 mots
Il interprète avec une bonne humeur dont il ne se départira jamais des chansons loufoques qui connaissent un énorme succès : Tout nu et tout bronzé (1973), Señor Météo (1974), À la queue leu leu (1974), La Cantine (1975), Big Bisou (1977), Rosalie, adapté d'un air créole et qui devient célèbre grâce à une publicité pour un jus de fruits (1978), Papayou (1983), T'as l'bonjour d'Albert, Le Tirelipimpon (1989).
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LARTIGUE PIERRE (1936-2008)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 816 mots
Sa curiosité pour l'histoire de la poésie l'a poussé à lire systématiquement les œuvres oubliées et l'a amené à écrire un essai sur la sextine – une forme poétique chère aux troubadours – (L'Hélice d'écrire : la sextine, 1994) et un autre sur la comptine (Une cantine de comptines, 2001). Pierre Lartigue a également publié un essai sur La Pietà d'Avignon (Musicienne du silence, 2002).
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RICHAUD ANDRÉ DE (1909-1968)
- Écrit par Renée SAUREL
- 3 789 mots
Il a tôt fait d'en transformer la cantine en club littéraire, et la hiérarchie, sagement, l'envoie à Montélimar. « Sur le front du nougat », dira-t-il. Le moins que l'on puisse dire est que la tentation de l'héroïsme ne l'effleure pas. Une première guerre lui a pris son père, la seconde ne le concerne pas. Mais un complexe de culpabilité le mine, entraînant un processus d'autodestruction par l'alcool.
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BENE CARMELO (1937-2002)
- Écrit par Jean-Paul MANGANARO
- 4 363 mots
Grand inventeur et opérateur, depuis le début des années 1960, de ce qu'on appellera les cantine (caves) de Rome – une forme de l'underground théâtral qui s'imposera ensuite dans les années 1970 –, il imagine un théâtre qui, à la suite d'Artaud, tend à détruire l'expression dramaturgique conventionnelle. Tour à tour « monstre sacré » et « enfant terrible » de la scène italienne, il crée dès ses débuts une figure nouvelle qui concentre l'expression des différentes fonctions théâtrales : non seulement celle, toute-puissante, de l'acteur, mais aussi celles du metteur en scène, de l'auteur-adaptateur, du décorateur.
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SAINT-BERNARD COL DU GRAND-
- Écrit par Paul GUICHONNET
- 4 451 mots
- 1 média
Il s'ouvre, du côté valaisan, près de la Cantine-de-Proz, à 1 915 mètres et sort, à 1 875 mètres, au-dessus de Saint-Rhémy. Sous son point culminant (1 923 m) la couverture rocheuse n'est épaisse que de 952 mètres. L'aération est assurée par deux puits verticaux. La pente de la chaussée est faible. La rançon de la forte altitude est la raideur des pentes d'accès, mais ces dénivellations sont compensées par un tracé très hardi et des ouvrages d'art spectaculaires.