Cary
- Nom masculin singulier
Définition
- en cuisine, épice d'origine indienne, mélange de piment, de coriandre, de gingembre et de graines comme le curcuma
Synonymes
- cari
- carry
- curry
"cary" dans l'encyclopédie
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CARY JOYCE (1888-1957)
- Écrit par Louis BONNEROT
- 1 535 mots
Cary a aussi publié des nouvelles, des essais et une autobiographie.
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GRANT ARCHIBALD ALEXANDER LEACH dit CARY (1904-1986)
- Écrit par André-Charles COHEN
- 4 999 mots
Le jeune comédien Cary Grant (de son vrai nom Archibald Leach), de nationalité anglaise, y trouva tout naturellement sa place. Il avait pour atouts supplémentaires humour et dandysme. Originaire de Bristol, en Grande-Bretagne, Cary Grant, après avoir travaillé dans un cirque comme acrobate, arrive aux États-Unis dans les années 1920 et occupe plusieurs emplois avant d'interpréter des rôles de « jeune premier chantant » à Broadway.
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MAC CAREY LEO (1898-1969)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 5 226 mots
Son film de 1942, Once Upon a Honeymoon (Lune de miel mouvementée), avec Cary Grant et Ginger Rogers, met le spectateur moderne mal à l'aise par la légèreté avec laquelle il traite du nazisme. Au milieu des années 1940, Mac Carey fait les deux films entièrement signés de sa main (on lui doit le scénario, la réalisation et la production), avec Bing Crosby dans le rôle du père Chuck O'Malley, Going my way (La Route semée d'étoiles, 1944), et sa suite, The Bells of St.
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HAWKS HOWARD (1896-1977)
- Écrit par Claude-Jean PHILIPPE
- 11 304 mots
- 1 média
Il a raconté vingt fois aux journalistes qui l'interrogeaient l'histoire du vieux pilote au cou brisé que Cary Grant assiste dans une scène de Seuls les anges ont des ailes (Only Angels Have Wings, 1939). L'homme demande qu'on le laisse seul pour mourir. « Je me suis toujours demandé comment je réagirais au moment de ma mort, dit-il à Cary Grant. Alors tu vas me laisser seul, n'est-ce pas ? » Cary Grant sort sous la pluie, fume une cigarette, tandis que son ami meurt.
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HOGAN BEN (1912-1997)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 3 489 mots
Par la suite, Hogan ne remportera plus de tournois du Grand Chelem, mais il échouera de justesse au Masters en 1954 (deuxième, battu en play-off par Sam Snead) et en 1955 (deuxième, derrière Cary Middlecoff) ainsi qu'à l'U.S. Open en 1955 (deuxième, battu en play-off par Jack Fleck) et en 1956 (deuxième, derrière Cary Middlecoff). L'ouvrage pédagogique qu'il publie en 1957, intitulé The Modern Fundamentals of Golf, est l'un des plus connus et des plus appréciés en la matière.