Casse-pieds
- Nom invariant en genre et en nombre
- Adjectif invariant en genre et en nombre
Définition
Employé comme adjectif
- familièrement, désagréable, pénible, ennuyeux
- casse-cul
Synonyme
Employé comme nom
- familièrement, personne ennuyeuse, pénible
"casse-pieds" dans l'encyclopédie
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ROBERT YVES (1920-2002)
- Écrit par André-Charles COHEN
- 4 826 mots
- 1 média
Puis il retrouve sa tribu de comédiens complices dans Le Bal des casse-pieds (1992), agréable variation sur Les Caractères de La Bruyère, qui complète son cycle de comédies. Son dernier film, Montparnasse-Pondichéry (1994), passe plutôt inaperçu, peut-être parce qu'il se montre plus grave. Dans cette manière de testament autobiographique, Yves Robert incarne un vieux typographe – métier qu'il avait exercé –, bien décidé à obtenir le baccalauréat, véritable bâton de maréchal.
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ROCHEFORT JEAN (1930-2017)
- Écrit par René PRÉDAL
- 4 941 mots
- 1 média
Avec Claude Brasseur, Guy Bedos et Victor Lanoux, Rochefort cultive l'amitié des groupes d'hommes d'Un éléphant ça trompe énormément (1976) et de Nous irons tous au paradis (1977) ; il profite de Mai-68 pour vivre une aventure extraconjugale (Courage fuyons, 1979) et participe également au Château de ma mère (1990) et au Bal des casse-pieds (1991).
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BEDOS GUY (1934-2020)
- Écrit par Véronique MORTAIGNE
- 5 201 mots
- 1 média
On l'aperçoit chez Marcel Carné (Les Tricheurs, 1958) et Jean Renoir (Le Caporal épinglé, 1962), avant qu’il trouve enfin « chaussure à son pied » en la personne d'Yves Robert avec lequel il tourne Les Copains (1965), puis Un éléphant ça trompe énormément (1976), Nous irons tous au paradis (1977) et Le Bal des casse-pieds (1992). En 2012, il met fin à sa carrière cinématographique, en vieux militant gueulard, dans Et si on vivait tous ensemble, de Stéphane Robelin.