Catcher
- Verbe à l'infinitif
Définition
- en sports, pratiquer le catch, la lutte libre
"catcher" dans l'encyclopédie
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CATCH, musique
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 430 mots
Le plus célèbre recueil de catches demeure cependant Catch That Catch Can (1652) de John Hilton (1599-1657). Le catch connaît son apogée après la restauration de la monarchie anglaise, en 1660, lorsque les compositeurs rivalisent d'ingéniosité – et de paillardise – dans cette forme. Henry Purcell est le plus inventif d'entre eux, et aussi l'un des plus grivois.
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GREENE ROBERT (1558 env.-1592)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 986 mots
Pendant la dernière année de sa vie, Robert Greene évoque les bas-fonds de Londres à l’époque élisabéthaine, notamment dans A Notable Discovery of Coosnage (1591) et dans le drolatique A disputation betweene a hee conny-catcher and a shee conny-catcher (1592). Il meurt le 3 septembre 1592, à Londres.
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SALINGER JEROME DAVID (1919-2010)
- Écrit par Liliane KERJAN
- 5 021 mots
- 1 média
Alors que Salinger a servi dans le contre-espionnage de 1942 à 1946 et a débarqué en Normandie à Utah Beach le 6 juin 1944, qu'il aime l'uniforme et roule en Jeep toute sa vie, il préfère réinventer l'adolescence au travers de ses nouvelles et de son roman L'Attrape-cœurs (The Catcher in the Rye), dédié à sa mère, qui paraît à Boston en 1951. Franny et Zooey, « film dramatique en prose », fait la couverture du magazine Time en septembre 1961 avant même sa parution triomphale ; le savoureux Dressez haut la poutre maîtresse, charpentiers suivi de Seymour, une introduction sort en 1963 ; Hepworth 16, 1924, nouvelle épistolaire, clôt le tout en 1965.
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L'ATTRAPE-CŒURS, Jerome David Salinger Fiche de lecture
- Écrit par Nathalie COCHOY
- 5 607 mots
Le roman tient son titre anglais (The Catcher in the Rye) d'un poème de Robert Burns (1759-1796) que fredonne un enfant en suivant la ligne du caniveau, entre l'asile protecteur du trottoir où marchent ses parents et l'espace périlleux de la chaussée où vrombissent les voitures. Comme lui, Holden arpente la lisière qui sépare l'Éden mythique de l'enfance et le gouffre inquiétant de la maturité.
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NOMENCLATURE BOTANIQUE RÈGLES INTERNATIONALES DE
- Écrit par Jean-Marie PRUVOST-BEAURAIN
- 54 191 mots
- 6 médias
lobelianum ‘Bergfürst’, Camellia ‘Shōjō-no-mai’, Crocus chrysanthus ‘Eye-catcher’, Lilium ×maculatum ‘Sanguineum’, Malus domestica ‘Beauty of Bath’, Rosa ‘Pompon de Paris’, ×Triticale ‘Siskiyou’. Une épithète de cultivar doit être formée en respectant certaines règles telles que : ne pas être un simple mot descriptif (comme « blanche » ou « large ») ; depuis le 1er janvier 1959, être en une langue moderne et non en latin (sauf exceptions : sont acceptés, les épithètes spécifiques ou infraspécifiques lorsqu'une espèce ou un taxon infraspécifique est reclassifié en cultivar, et les noms latins ou de forme latine dont on peut démontrer qu'ils sont courants en une langue moderne, comme des termes, parties de phrases, noms de personnes ou de lieux tels que « campus », « noli me tangere », « Cicero », « Museum d'Orsay »), ne pas être un nom botanique, commun ou vernaculaire d'un quelconque genre ou nothogenre ou d'une quelconque espèce ou nothoespèce, ne pas contenir les mots « variété » ou « forme » ou leurs équivalents en d'autres langues, ne pas exagérer les mérites du cultivar ; depuis le 1er janvier 1996, ne pas dépasser trente lettres ou caractères (espaces et signes de démarcation exclus), ne pas être si proche d'une épithète existant déjà dans le taxon auquel il appartient qu'une confusion serait possible, ne pas contenir de mots tels que « cultivar », « grex », « groupe », « hybride », « sélection », « série », « sport » ; depuis le 1er janvier 2004, ne pas consister uniquement en une lettre ou en un nombre écrit en chiffres arabes ou romains ; etc.