Cauchemar
- Nom masculin singulier
Définition
- rêve angoissant
- événement, personne ou chose qui angoisse, qui tourmente
"cauchemar" dans l'encyclopédie
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IRISH CORNELL GEORGE HOPLEY-WOOLRICH dit WILLIAM (1903-1968)
- Écrit par Hervé DELOUCHE
- 3 109 mots
De la solitude au cauchemar, de la violence à la destruction, voilà la tragique dimension humaine proposée par Irish. C'est la différence flagrante de cette œuvre avec le roman policier classique : dans ce dernier, tout s'éclaire au final et l'aube dissout les monstres ; au contraire, dans les histoires criminelles d'Irish, même si l'on découvre l'assassin, les fantômes demeurent.
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LEE CHRISTOPHER (1922-2015)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 667 mots
- 1 média
L’acteur britannique Christopher Lee excella à inspirer la peur par sa seule présence dans des rôles de méchant emblématique allant du vampire – comme le comte Dracula, dans Le Cauchemar de Dracula (Horror of Dracula, 1958) et ses suites – au sorcier Saroumane dans les adaptations cinématographiques des romans de fantasy de J. R. R. Tolkien, Le Seigneur des anneaux (The Lord of the Rings) et Le Hobbit (The Hobbit), réalisées par Peter Jackson Christopher Frank Carandini Lee naît à Londres le 27 mai 1922 ; sa mère est une comtesse italienne et son père un officier de l’armée britannique.
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SINIAC PIERRE (1928-2002)
- Écrit par Claude MESPLÈDE
- 4 205 mots
Ses premiers romans, signés Pierre Signac, paraissent à la même époque : Illégitime Défense (1958), Bonjour cauchemar (1959), et surtout Monsieur Cauchemar (1960), dans lequel il propose trois chutes différentes. Après quelques années de silence, il entre à la Série noire et publie Les Morfalous (1968), son premier roman « subversif » : des soldats français, bloqués en Tunisie durant la Seconde Guerre mondiale, profitent de la situation pour cambrioler la banque locale.
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TRAINI FRANCESCO (mort apr. 1347)
- Écrit par Marie-Geneviève de LA COSTE-MESSELIÈRE
- 1 274 mots
Parmi les œuvres exécutées alors à Pise, qui toutes se rattachent plus ou moins étroitement à l'école siennoise, le Triomphe de la mort révèle une imagination, une aptitude à concrétiser le rêve ou le cauchemar, bref, un tempérament de peintre sans équivalent au xive siècle.
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STEADMAN RALPH (1936- )
- Écrit par Marc THIVOLET
- 4 571 mots
L'utilisation, en tête de l'ouvrage, du dessin de Goya, Le sommeil de la raison n'engendre que des monstres, l'amène à traiter la vie de Freud comme une suite de plaisanteries proférées à l'intérieur d'un cauchemar — cauchemar dans lequel Steadman joue avec un extrême raffinement du blanc et du noir. Chaque image est signée de son nom décomposé typographiquement en deux parties : STEADman.