Cavaillon
- Nom masculin singulier
Définition
- melon cultivé dans la région de Cavaillon
- en agriculture, bande de terre près des ceps non touchée par la charrue dans les vignes
"cavaillon" dans l'encyclopédie
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AVIGNON & COMTAT VENAISSIN
- Écrit par Alain MAUREAU
- 5 839 mots
De cette prospérité demeurent la cité exhumée de Vaison, les arcs de triomphe, les théâtres d'Orange, de Carpentras, de Cavaillon. Des Gallo-Romains s'élèvent aux plus hautes charges de l'Empire : Avintus, Burrus, Trogue Pompée. Les récits légendaires sur sainte Marthe, saint Ruf, saint Eutrope révèlent néanmoins une pénétration précoce du christianisme.
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Y AURA-T-IL DE LA NEIGE À NOËL ? (S. Veysset)
- Écrit par Michel ESTÈVE
- 7 012 mots
La place donnée dans le récit aux chargements et déchargements des cagettes de légumes comme au va-et-vient du camion du père entre la ferme et Cavaillon transcrit les rythmes de production et de diffusion des produits de la ferme qui reposent essentiellement sur le travail de la mère et des enfants. Ancré dans la réalité quotidienne d'une exploitation maraîchère, le film ne l'est pas dans le temps.
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PEIRE CARDENAL (1180-1278)
- Écrit par Charles CAMPROUX
- 3 511 mots
Nanti d'une solide formation religieuse (Le Puy est alors le premier centre marial de la Chrétienté), intellectuelle et morale, il entre vers 1204 au service de Raimond VI de Toulouse, auprès de qui se trouvent également Raimond de Miraval, Aimeric de Peguilhan, Aimeric de Belenoi, Adémar le Noir, Gui de Cavaillon, Gausbert de Puycibot et bien d'autres.
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LUBERON
- Écrit par Lucien TIRONE
- 3 534 mots
- 2 médias
Le Luberon s'étend entre Cavaillon et Manosque, sur plus de soixante kilomètres. Au nord, la montagne est longée par le Calavon, rivière qui sépare le Luberon central des monts de Vaucluse et traverse le pays d'Apt, terre de l'ocre et des cerises. Au sud, le piémont méridional s'abaisse vers la Durance, et porte des vignobles et des vergers dans le pays d'Aigues.
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GRÉGOIRE DE TOURS saint (538?-594)
- Écrit par Jacques DUBOIS
- 4 136 mots
Grégoire fut élevé par sa mère, qui s'était installée près de Cavaillon, puis par son oncle l'évêque de Clermont, Gall (mort en 551), enfin par l'archidiacre Avit. De santé fragile, Grégoire attribua à des saints plusieurs guérisons qu'il estimait miraculeuses ; il avait quatorze ans quand saint Allyre le délivra de douleurs d'estomac, vingt-quatre lors de son premier pèlerinage à Tours, où saint Martin le débarrassa de pustules malignes.