Chênaie
- Nom féminin singulier
Définition
- en sylviculture, terrain planté de chênes
"chênaie" dans l'encyclopédie
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CHÊNAIES
- Écrit par Marcel BOURNÉRIAS
- 20 209 mots
- 3 médias
On a signalé plus haut des types passant à la chênaie silicicole (chênaie neutrophile, chênaie à bouleau). D'autres types se rattachent aux aulnaies ou aux hêtraies : il s'agit des chênaies pédonculées des alluvions humides toujours mêlées d'aulnes, de peupliers, de frênes ; leur végétation est très proche de celle des aulnaies de grandes vallées ou de certaines aulnaies forestières eutrophes.
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MÉSOTROPHE MILIEU
- Écrit par Didier LAVERGNE
- 456 mots
Le milieu mésotrophe tolère des peuplements variés, alternatifs ou successifs, d'où sa richesse spécifique, et la morphologie relativement complexe et touffue des strates de sa végétation (par exemple chênaie-frênaie).
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GUÉRIN MAURICE DE (1810-1839)
- Écrit par France CANH-GRUYER
- 2 034 mots
Des études brillantes et très remarquées au petit séminaire de Toulouse, puis à Paris au collège Stanislas lui ouvrent les portes de la petite congrégation de Lamennais en Bretagne, à la Chênaie. Avant que ce dernier ne rompe définitivement avec les autorités ecclésiastiques, Guérin y passera neuf mois consacrés à l'étude et à la méditation spirituelle.
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FORÊTS La forêt, un milieu naturel riche et diversifié
- Écrit par Yves BASTIEN et Marcel BOURNÉRIAS
- 45 007 mots
- 16 médias
La chênaie silicicole La chênaie silicicole (par exemple celle des environs de Paris) présente une stratification particulièrement nette (fig. 4) : – la strate arborescente supérieure (de 20 à 30 m de hauteur) est formée par la couronne des « arbres de première grandeur » (chênes et parfois hêtres) ; leurs troncs rectilignes forment la futaie ; – la strate arborescente inférieure (de 7 à 15 m) est constituée à la fois des jeunes sujets des espèces précédentes (baliveaux), parfois de leurs rejets de souche (taillis), et par des « arbres de seconde grandeur » (Sorbus aucuparia.
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CLIMAX
- Écrit par Yolande LUBIN
- 3 630 mots
De même, dans la chênaie atlantique, largement transformée en lande à bruyères depuis la préhistoire, P. Duchaufour (1948) a montré que les vestiges des sols climaciques sont très voisins (sols brunifiés) même sur roches mères différentes, alors qu'au contraire les sols dégradés correspondants diffèrent très nettement d'une roche à l'autre : podzol sur sable, sol à pseudogley sur argile, rendzine sur calcaire.